DEPUIS QUE NOUS SOMMES INTERCONNECTÉS, NOTRE BIEN EST DEVENU LE BIEN DE TOUS LES AUTRES AUSSI ET PAR CONSÉQUENT IL EST JUSTE UNE QUESTION DE PARTAGER LES INFORMATIONS À CE SUJET POUR L’OBTENIR
Faire le mal, tuer et détruire comme le font Israël, la Russie, le Hamas, l’Ukraine et bien d’autres, c’est-à-dire nuire à autrui, ne vient pas de notre volonté, cela est dû à l’existence du l’arme dans la nature auquel tous les humains a dû s’adapter en le rendant aussi meurtrier que possible et en s’organisant en unités armées. Et l’arme, le moyen pour commettre homicide, est la cause de la guerre, car le but de toute guerre est de désarmer/détruire l’arme de l’ennemi pour le mettre ou le mantenir à notre merci au lieu que nous soyons à sa merci, ce qui est le effet de l’existence du l’arm sur nous, les humains, car à partir de lui nous anticipons virtuellement notre mort…
Une preuve évidente que le mal n’est pas désiré est que la destruction mutuelle est évidemment la pire manière de résoudre les différends, mais étant donné qu’elle est une option, elle devient la seule et, en fait, l’arme elle-même et sa menace sont la cause de la difference et de la division humaines. Et le cessez-le-feu, bien qu’il soit bénéfique pour les deux parties par opposition à la destruction mutuelle, ne peut être qu’un moment de réarmement, car une autre chose serait d’offrir à l’ennemi ce qu’il entend précisément réaliser par la guerre, à savoir désarmer l’autre.
LA BONNE NOUVELLE
Mais la paix découle de notre simple coexistence ou unité humaine, d’une prise de décision inclusive qui, par conséquent, prévient et évite l’arme, ou ce qui revient au même : l’unité crée le bien commun, puisque le dividende de la paix/du désarmement est indivisible, juste car une seule arme donne naissance à toutes les armes possibles dans le monde ou, par exemple, les économies possibles sur les 2,5 trillions dépensés cette anne pour le développement d’armes sont un bien commun, car elles ne peuvent être générées par l’une, ni par une partie, ni par l’autre, mais par l’Humanité ensemble, et ces 2,5 trillion ne représentent qu’une bagatelle dans le dividende total de la paix, qu’est la communauté humaine.
LA PAIX EST MAINTENANT
Mais il faut comprendre que, tout comme la condition du bien commun est l’universalité, cela n’a pas été possible jusqu’à notre époque. Et bien que les gens discrets et sages du passé aient compris le bien commun ou la paix comme l’inclusivité, l’humanité ou l’universalité, puisque leur proposition ne pouvait pas avoir une portée universelle, la publicité de leur perception n’a fait qu’affaiblir leur propre État, de sorte que celui-ci n’a pas consenti et a caché ou déformé cette compréhension et c’est pourquoi nous n’avons pas de nouvelles publiques de paix et dès que nous les aurons, nous pourrons également les mettre en pratique.
C’est pourquoi nous appelons à un Congrès de l’Unité ou de l’Humanité en 2025, précédé d’un Festival de l’Humanité en 2024, date limite à laquelle les forces armées du monde auront cessé leur activité et leur développement, afin que tous les peuples puissent participer à un processus ouvert et transparent de préparation et organisation du Congrès, car si l’on reste au service de l’affrontement et du développement inverse des armes, le Congrès serait comme l’ONU, une représentation (hiérarchique) des unités armées, mais pas de l’Humanité.
Le Congrès veillera à ce que la prise de décision humaine soit inclusive, ce qui signifie essentiellement qu’elle est publique, même si la plupart des décisions sont subsidiaires, c’est-à-dire prises par ceux qui sont concernés. Le Congrès assume la responsabilité de la sécurité humaine commune et sert de moyen dans le processus de désarmement ou de création du bien commun, en fin de compte la communauté humaine. Il peut aussi appliquer dans un premier temps la justice humaine, c’est-à-dire ; pour récompenser ceux qui profitent aux autres et à l’humanité, mais, en tant qu’humains adaptés à l’existence des armes, dans ce nouvel environnement d’unité, nous nous y adapterons également et, en raison de notre influence mutuelle et de notre inclination naturelle à nous mettre à la place de l’autre, nous assumerons les intérêts des autres et de l’humanité comme les nôtres.
ENSEIGNER LA PAIX
La paix vient parce qu’elle nous met devant un choix très facile ; le bien ou le mal. Il suffit de penser, de comprendre et de partager ce qu’est la paix, de comprendre que la conséquence d’une arme est toutes les armes possibles et que l’arme nous confronte et fait de tous les humains ses esclaves de manière égale et que l’unité humaine ou l’inclusivité universelle génère le bien commun, non pas par imposition, ni uniformité, c’est la libération mutuelle et universelle du mal, du l’arme.
Qui peut choisir le mal aujourd’hui alors que le mal est également pour tous et donc aussi pour soi-même ? Qui fabriquera alors une arme ou qui permettra à quelqu’un d’autre de la fabriquer ou qui permettra à certains de s’organiser en unités armées ?
Et quiconque comprend la paix, et que la paix est possible maintenant, ne l’enseignera-t-il pas aux autres ?