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INVITATION A LA PAIX

Bonjour, chers amis.

Je suis Manuel Herranz Martín, président de HUM, Human Unity Movement.

NOUS VOUS INVITONS À CÉLÉBRER LA RÉCONCILIATION HUMAINE ET LA PAIX LE 30 JANVIER 2025.

Le plan est de diffuser ce message autant que possible jusqu’au 30 janvier, et ce jour-là, de veiller à sa diffusion universelle pour entamer la paix, la coexistence, et la prise de décisions inclusives, qui signifie le désarmement.

Définition et compréhension de la paix

La paix n’est pas (seulement) l’absence de guerre comme on le suppose habituellement, mais le désarmement, c’est-à-dire le renoncement à la «mauvaise volonté», ou à l’intention et à la projection de destruction de l’autre par l’arme, privant ainsi inévitablement l’autre de sa liberté, c’est-à-dire de sa propre volonté – quelque chose que, logiquement, nous ne pouvons pas accepter. Ainsi, la simple existence de l’arme, présente dans la nature bien avant l’apparition de l’être humain et à laquelle l’homme a dû s’adapter, nous place inévitablement, contre notre volonté, nos intérêts et nos avantages, dans une guerre «absolue».

L’arme et l’État

Cette intention de tuer et de détruire est manifeste dans la lame et la pointe de l’épée, dans l’explosivité de la bombe, etc., mais pas, par exemple, dans un couteau de cuisine ou une pierre qui, bien qu’ils puissent être utilisés comme armes, n’ont pas pour but de nuire et, en conséquence, ne nous alarmons pas. Par contre, l’intention de nuire de l’arme n’est ni abstraite ni accidentelle, comme on le prétend parfois, mais concrète et adaptée aux conditions de l’autre pour lui causer le maximum de dommages possibles.

Le désarmement n’a pas seulement été impossible, mais impensable jusqu’à maintenant, car il ne peut être qu’universel. Un désarmement unilatéral équivaut à la reddition, c’est-à-dire à continuer de servir l’arme, mais celle d’un autre. Bien que de nombreux sages du passé aient compris la condition humaine, l’État n’a pas permis la diffusion de ce savoir, car, en plus de ne pas être réalisable, cela affaiblissait cet État particulier. Cela doit maintenant nous servir d’avertissement et nous rendre agiles et déterminés, avec la conscience que, tout comme nous partageons cette connaissance, nous accomplissons la paix, car son hésitation et son retard peuvent entraîner la dissolution de cette compréhension sous la pression inévitable de la propagande en faveur du réarmement des États, car leur activité est la guerre.

Les humains servons l’arme en s’incorporant de force en elle sous la forme d’une unité armée, un système d’injustice ou d’inégalité totale à travers sa forme pyramidale, la hiérarchie, que ce soit dans l’armée ou dans l’État, qui inclut une répartition inégale des moyens de vivre. Ainsi, une chaîne de commandement est établie, mue par la force de manière mécanique et inhumaine, car c’est la seule façon de contenir les autres armes également organisées de cette manière.

L’arme détermine la réalité

L’arme détermine la réalité, mais pas de la manière d’une figuration idéologique. Au contraire, précisément, les figurations idéologiques s’abstraient de la réalité, en particulier de leur relation avec l’être humain, cachant ainsi l’empathie et l’anticipation qui nous sont communes et qui montrent l’arme comme cause de la guerre absolue. L’État a besoin de se différencier pour accomplir ses génocides sans les remettre en question, et c’est lui qui fait confesser ces figurations dans ses écoles.

L’effet de l’arme est ressenti ou expérimenté réellement et directement par chaque être humain, sinon elle serait inefficace. La perception de la possibilité d’être blessé ou détruit que l’unité armée nous projette nous amène à, en plus de confesser ces figurations, travailler, payer des amendes, des impôts, etc. Le but concret de nuire de l’arme la rend nécessairement «privée» et tout est donc privé et à son service.

La communication de la paix

Il serait contradictoire de prétendre imposer la paix par la force ; la paix ne peut être obtenue que par un accord libre dont les termes sont clairement compris. Et, justement, la démonstration ainsi que la garantie du désarmement résident dans le besoin de transparence totale et de publicité universelle pour être réalisées. Tout comme la mauvaise volonté ou l’intention de nuire (l’arme) doit être dissimulée, la coopération pour le désarmement et le bien commun ne peut se faire que par la transparence et la publicité absolues de ce qui est proposé, car c’est la seule manière de savoir si cela vaut la peine d’être soutenu librement maintenant et plus tard à chaque étape de sa pratique. Et cela se produit déjà avec cette proposition de réconciliation humaine ou d’opposition «absolue» à l’arme.

La réconciliation

Nous n’avons pas besoin d’autre considération pour nous réconcilier que le rejet absolu de l’arme ou de la mauvaise volonté. Il n’est pas nécessaire de déterminer ce que nous devons croire (confesser) ou comment nous devons nous organiser, car le but inévitable de l’arme est d’assurer et d’augmenter ce pouvoir/sujétion, interne et externe, ce qui conduit à s’armer toujours plus jusqu’à l’infini. Nous le savons tous, car tant que l’arme existera, elle sera la plus grande production humaine en tout temps et en tout lieu, y compris dans l’avenir. De la même manière, tout le reste, y compris les ressources humaines, continuera nécessairement à être subordonné à elle, et la «guerre absolue» perdurera, car, en raison de son existence, même pour un «bien» potentiel, il est d’abord nécessaire de faire du «mal», de la manière dont cela se produit avec la propriété privée; seul celui qui possède peut donner, c’est-à-dire qu’il faut d’abord prendre puis partager.

Seule notre humanité nous habilite à la bonne volonté, c’est pourquoi, pour nous réconcilier, nous devons nous libérer, suspendre la «représentation» que l’État assume et revendique de notre volonté, ainsi que les «représentations» (idéologiques, politiques, religieuses) qui justifient et représentent une arme, un État et une alliance particulière face aux autres.

La réalisation de la paix

Le fait que le désarmement ne puisse être que universel implique l’amour universel, c’est-à-dire, par exemple, que nous veillons tous à ce que le personnel militaire maintienne et améliore ses conditions de vie, mais surtout, que nos projets et ressources libérés de l’usage militaire soient destinés à faciliter une vie digne pour tous et à intégrer l’Humanité dans un système de coopération pour le bien commun. Cela résultera logiquement ou naturellement, car, à l’exception des armes, tout est destiné à nous servir, à notre bien-être, à nous améliorer, à nous autonomiser et à augmenter nos capacités, créant et favorisant ainsi l’harmonie et le bon sens entre nous. Et, de même, en vivant ensemble, nous nous persuaderons et nous nous aiderons mutuellement à nous comporter et à utiliser les ressources selon l’intérêt commun. Notre relation est inclusive et impartiale, de sorte que chacun coopère au désarmement et au bien commun selon ses capacités et sa position, et celui qui sait enseigne.

Avec la réconciliation humaine, le garant ultime des droits actuels des personnes transcende les États, c’est l’Humanité, dont l’engagement commun est de fournir la paix, la sécurité et le bien-être pour tous, de manière à ce que personne ne soit blessé, forcé ou privé contre sa volonté de quelque chose qu’il possède maintenant, ce qui serait une violence et donc contraire au désarmement. Mais le désarmement est la même chose que la coopération volontaire pour le bien commun, et sans manifestation de cette bonne volonté, il ne peut y avoir de bien. Nous devons comprendre que la mauvaise volonté est notre point de départ, car elle nous est imposée en raison de l’existence de l’arme, et, en conséquence, la bonne volonté ne peut être indifférence ou inaction; elle doit se manifester, agir, et cette bonne volonté est la coopération pour le désarmement de chacun selon ses capacités. Ainsi, il n’y a pas de bonne volonté si ce message n’est pas partagé.

 

Manuel Herranz Martin                                                21de agosto de 2024

PLAN DE PAZ Y DESARME MUNDIAL

Buenos días, amigos.

Soy Manuel Herranz Martín, presidente de HUM, Human Unity Movement

OS INVITO A CELEBRAR LA RECONCILIACIÓN HUMANA Y A LA PAZ EL 30 DE ENERO DE 2025

El plan es difundir todo lo posible esta propuesta de paz hasta el 30 y según quien la acepta la comparte, y en ese día asegurarnos ya de su difusión universal para, si hay acuerdo, comenzar con el desarme.

Definición y entendimiento de la paz

La paz no es (solo) la ausencia de guerra como se asume habitualmente sino el desarme, esto es, la renuncia a la ‘mala voluntad’, o intención y proyección de destrucción del otro objetivada en el arma de modo que inevitablemente se le priva así de libertad, esto es, de voluntad propia -algo que, lógicamente, nos es imposible de aceptar. De modo que la simple existencia del arma, presente en la naturaleza ya antes de la aparición del ser humano y a la que este tuvo que adaptarse, nos pone irremediablemente y en contra de nuestra voluntad, interés y conveniencia en situación de guerra ‘absoluta’.

El arma y el estado

Esa intención de matar y destruir se manifiesta en la hoja y la punta de la espada, en la explosividad de la bomba, etc., pero no, por ejemplo, en un cuchillo de cocina o una piedra que, aunque podrían usarse como armas, no tienen propósito de daño y, en consecuencia, no nos alarman, mientras que, por el contrario, la intención de daño del arma no es abstracta o casual como se pretende sino concreta y adaptada a las condiciones del otro para poder causarle el máximo daño posible.

El desarme no solo ha sido imposible sino impensable hasta ahora, ya que solo puede ser universal, pues un desarme unilateral equivale a la rendición, es decir, a seguir sirviendo al arma, solo que a otra. Y aunque muchos sabios del pasado entendieron la condición humana, el estado no ha permitido la publicidad de ese conocimiento ya que, además de no ser viable, debilitaba a ese estado en particular. Esto debe servirnos de advertencia ahora y hacernos ágiles y decididos, con la conciencia de que, así como compartimos este conocimiento llevamos a cabo la paz, pues la duda y la demora puede resultar en la disolución de este entendimiento por la ineludible propaganda hacia el rearme de los estados, pues su actividad es la guerra.

Los humanos servimos al arma incorporándonos forzosamente a ella en su forma de unidad armada, un sistema de injusticia o desigualdad total mediante su forma piramidal, la jerarquía, tanto en el ejército como en el estado, que incluye una asignación desigual de medios para vivir, de modo que se establece cadena de mando movida al modo mecánico por la fuerza, pues esta es la forma de contener a las otras armas también organizadas implacablemente del ese modo.

El arma determina la realidad, pero no al modo supuesto de una figuración ideológica, al contrario, precisamente las figuraciones ideológicas se abstraen de la realidad y así hacen con el arma, desligándola de su relación con el ser humano, ocultándonos así la empatía y anticipación que nos es común y que nos mostraría el arma como causa de la guerra absoluta. Pues el estado necesita diferenciarse para acometer genocidio sin cuestionarse y es el que hace confesar esas figuraciones en sus escuelas, que no tienen base en el sentido común. El efecto del arma lo siente o experimenta real y directamente cada ser humano, pues de otro modo sería ineficaz; la percepción de la posibilidad de ser dañados y destruidos que el arma nos proyecta nos lleva a, además de confesar esas figuraciones, trabajar, pagar multas, impuestos, etc. Y ese propósito que es daño real en el ser humano del arma la hace necesariamente ‘privada’ y todo es privado por tanto está a su servicio.

La comunicación de la paz

Sería contradictorio pretender imponer la paz por fuerza, la paz solo puede lograrse mediante el libre acuerdo cuyos términos son entendidos claramente. Y, precisamente, tanto la demonstración como la garantía del desarme es que necesita total transparencia y publicidad universal para ser llevado a cabo. Así como la mala voluntad o propósito de daño -el arma, necesita ser ocultada, la cooperación para el desarme y el bien común solo puede darse mediante la transparencia y publicidad absoluta de lo que se propone, ya que solo así se sabe si conviene libremente apoyarlo ahora y en cada paso de su práctica. Y esto ocurre ya con esta propuesta de Reconciliación humana u oposición ‘absoluta al arma.

Tal como entendemos que solo podemos liberarnos o desarmarnos porque hoy día podemos hacerlo juntos universalmente, tenemos que compartir esta propuesta sin excusa de que otros no tendrán buena voluntad y querrán mantener su poder o privilegios, pues también los que subyugan a otros sirven así al arma, incluso si son inconscientes o se engañan no pueden negar la evidencia ni renunciar a su propia voluntad, que tanto es dejar de servir al arma como de verse obligados a forzar a otros.

La reconciliación

No necesitamos otra consideración para reconciliarnos que el rechazo absoluto al arma o la mala voluntad. No nos es necesario determinar qué creer (confesar) ni cómo organizarnos, pues el propósito ineludible del arma es asegurar y aumentar ese poder/subyugación interna y externamente, lo que es armarse más hasta el infinito y todos lo sabemos, pues, mientras exista el arma, esta es la máxima producción humana en todo tiempo y lugar, incluido el futuro y, de la misma manera, todo lo demás incluso sus recursos humanos seguirán necesariamente subordinados a ella y se mantendrá la ‘guerra absoluta’, pues, dada su existencia, incluso para un posible ‘bien’ es necesario primero el ‘mal’, del modo como sucede con la propiedad privada; que solo quien tiene puede dar, es decir, primero es quitar y luego compartir.

Solo nuestra humanidad, que no puede sernos ajena, nos habilita la buena voluntad, por eso, para reconciliarnos tenemos que liberarnos, poner en suspenso la ‘representación’ que el estado asume y se arroga de nuestra voluntad, así como las ‘representaciones’ (ideológicas, políticas, religiosas) que justifican y representan un arma (unidad armada), estado y alianza particular frente a otras.

La realización de la paz

Que el desarme solo pueda ser universal implica el amor universal, es decir, primero por ejemplo, que todos cuidamos que el personal militar mantenga y mejore sus condiciones de vida, pero sobre todo, que nuestros proyectos y recursos que se liberan del uso militar se destinan a facilitar una vida digna para todos y a integrar a la Humanidad en un sistema de cooperación para el bien común, lo que resultará una consecuencia lógica o natural, pues, excepto las armas, todo está destinado a servirnos, a nuestro bienestar, a mejorarnos, a empoderarnos y aumentar nuestras capacidades, creando y fomentando así la armonía y el sentido común entre nosotros. E, igualmente, conviviendo, nos persuadiremos y ayudaremos unos a otros a comportarnos y a usar los recursos según el interés común. Nuestra relación es inclusiva e imparcial, de modo que cada uno coopera en el desarme y por el bien común según sus capacidades y posición, y el que sabe enseña.

Con la reconciliación humana el garante último de los derechos actuales de las personas trasciende a los estados, es la Humanidad, cuyo compromiso común es proporcionar paz, seguridad y bienestar para todos, de modo que nadie sea dañado, forzado o privado contra su voluntad de algo que ahora posea, lo que sería violentarlo y, por tanto, contrario al desarme. Pero el desarme es lo mismo que la cooperación voluntaria por el bien común y sin la manifestación de esa buena voluntad no puede haber bien alguno. Tenemos que entender que la mala voluntad es nuestro punto de partida, ya que esta se nos impone debido a la existencia del arma y, en consecuencia, la buena voluntad no puede ser indiferencia o inacción; tiene que manifestarse, actuar, y esa buena voluntad es la cooperación por el desarme de cada uno según sus capacidades y así, no hay buena voluntad si este mensaje no se comparte.

Manuel Herranz Martin                                                21de agosto de 2024

Carta al COI sobre la Tregua Olimpica

A la atención de:

Su Excelencia Sr. António Guterres, Secretary-General of the UN
Su Excelencia Sr. Dennis Francis, President of the UNGA
Su Excelencia Sr. Thomas Bach, IOC President

Asunto: Carta en Apoyo y Demanda de la Tregua Olímpica

Estimados Sres,

Con el máximo respeto, pero con firmeza, proponemos las siguientes consideraciones, resultado de una larga reflexión y estudio, para que ustedes reiteren la solicitud y demanda de la Tregua Olímpica universal a todos los pueblos y estados compartiendo este documento.

Contexto

Según los términos de la septuagésima octava sesión, punto 11 de la Agenda: Deporte para el desarrollo y la paz: construir un mundo pacífico y mejor a través del deporte y el ideal olímpico:

«Reconociendo que los Juegos Olímpicos y Paralímpicos de París 2024 serán un evento unificador y una oportunidad significativa para aprovechar el poder del deporte para fomentar una atmósfera de paz, desarrollo, resiliencia, tolerancia y comprensión, accesibilidad e inclusión, y recordando su resolución 77/27 del 1 de diciembre de 2022 sobre el deporte como facilitador del desarrollo sostenible, en la cual se llamó a los futuros anfitriones de los Juegos Olímpicos y Paralímpicos y a otros Estados Miembros a incluir el deporte, según corresponda, en actividades de prevención de conflictos y a asegurar la implementación efectiva de la Tregua Olímpica durante los Juegos.»

Sobre la Paz y el Desarme

«Es lo mismo decir armas o guerra» (Cervantes, Quijote I, Cap. XXXVII).

Para nosotros los humanos, la paz no es solo la ausencia de guerra, como comúnmente se asume, sino también el desarme, el cese de la intención de destruir al otro, que se encarna en el arma. Esta intención es evidente en la hoja y la punta de la espada, en la explosividad de la bomba, etc., pero no, por ejemplo, en un cuchillo de cocina o una piedra, que no están destinados a esto y no nos alarman. Y el propósito de daño no es abstracto sino concreto y adaptado a las condiciones del otro para causar el máximo daño posible.

Aunque cada lado considere esto en defensa propia, el simple acto de armarse nos viola y nos priva a todos de libertad, algo que no podemos tolerar. Por un lado, nos somete mediante amenaza por la cual debemos someternos y servir si queremos evitar ser dañados, y, por otro lado, nos obliga a armarnos lo más que podamos para disuadir al otro, defendernos y evitar estar al servicio de su arma, y así es lo mismo para el otro lado en relación a nosotros.

La empatía humana nos pone en el lugar del otro y la inteligencia humana anticipa y proyecta, de modo que no es necesario derramar sangre para dominar. El simple hecho de tener uno la capacidad de destruir al otro lo pone a su merced y servicio. Esto ocurre no solo entre unidades armadas o estados, sino también dentro de ellos, donde la forma en que los humanos se incorporan al arma en unidades armadas es a través de una relación (inhumana) mecánica, de fuerza, articulada mediante la absoluta desigualdad de la estructura jerárquica o piramidal estatal, que incluye igualmente una asignación también desigual o piramidal de recursos, pues es la forma más efectiva para librar la guerra, esto es; dañar y destruir a otros humanos.

El efecto del arma no es una opinión o una ideología que deba creerse y se oponga a otras. Por el contrario, las ideologías o ideas ignoran esta empatía humana y ocultan el verdadero significado del arma, mientras que el efecto del arma es la realidad ordinaria y común que no se supone o presume, sino que se siente y conoce directamente, pues de lo contrario, sería ineficaz. Por lo tanto, debemos reflexionar sobre ello de manera humana y comprenderlo para hacer la paz.

La guerra (caliente), como dice Clausewitz, es «el intento o la acción de desarmar al enemigo», la forma en que lo ponemos a nuestra merced y/o evitamos que él nos amenace y nos subyugue. Por lo tanto, debemos comprender primero esta situación cuando hablamos de una tregua en la guerra (caliente). Si la guerra se libra para desarmar al enemigo y la tregua es meramente y, como por defecto, un momento de rearmamento, entonces la guerra y la tregua son directamente opuestas y una propuesta de tregua sin más consideraciones es básicamente inviable. La tregua solo puede entenderse como un paso hacia la paz a través del desarme, algo que puede suceder hoy porque estamos completamente conectados y podemos cumplir su condición; la universalidad y la simultaneidad. Y sus instituciones, la ONU y el COI son las más habilitadas y capaces de hacerlo, mientras que los JJOO son también evento universal y el momento más excelente para ello.

 

“Juntos” (Propuesta del presidente del COI, Sr. Bach el 1 de Julio en Ginebra)

子墨子曰非人者必有以易之若非人而無以易之譬之猶以水救火也其說將必無可焉。是故子墨子曰兼以易別 «Quien critica a otros debe tener algo para reemplazarlo. La crítica sin una alternativa es como tratar de detener una inundación con agua y apagar un fuego con fuego, con seguridad no tendrá valor, por lo tanto, Mòzǐ dijo: La parcialidad debe ser reemplazada por la universalidad/simultaneidad ( significa tanto ‘universal’ como ‘simultáneo’)». (Mòzǐ, 兼愛下 – Amor Universal III, 2)

La decisión de desarmarse debe ser universal/simultánea, un desarme unilateral no significaría dejar de servir al arma, sino simplemente servir a otra. En el pasado los grupos humanos estaban aislados e incomunicados, y la toma de decisiones exclusiva, que obviamente implica confrontación, era inevitable, por eso los humanos se han organizado inevitablemente en unidades armadas (estados), pero en nuestro tiempo, podemos y debemos reconciliarnos (y perdonarnos, ya que no estaba en nuestras manos evitar dañarnos) y establecer la paz o la toma de decisiones inclusiva, que previene y evita el propósito de dañar e implica cooperación para el bien común.

Y la primera decisión inclusiva debe ser el desarme, la renuncia a la intención o propósito de destruir. Sin esta renuncia, no se puede tomar ninguna decisión inclusiva, ya que el propósito de destrucción (obviamente del otro) condiciona todo lo demás hasta el punto de que la cooperación no solo no puede ser inclusiva, sino que realmente solo ocurre contra terceros. La consecuencia inevitable de odiar o querer destruir incluso a una sola persona o partido, privándolos de libertad y humanidad, es equivalente a dañar a todos, ya que esto lleva a violar y forzar a todos los demás a tomar partido. Lógicamente, el otro, aquel al que se apunta el arma, no estará de acuerdo en ser destruido o en ser privado de libertad mediante la amenaza de destrucción, y necesariamente hará todo lo posible para lograr sus propios medios de destrucción más poderosos y todos los aliados posibles para evitar que esto suceda.

La convocatoria de la tregua

«Todas las máximas que requieren publicidad (universal), para no fallar en alcanzar su fin, están en acuerdo tanto con el derecho como con la política.» (Kant, Paz Perpetua, Apéndice II. Sobre la armonía de la política con la moral).

Necesitamos exponer y compartir esta condición humana consecuencia del arma con todos los humanos al proponer o convocar la Tregua Olímpica para que asuman la libertad, la humanidad y la responsabilidad y se conviertan así en su garantía. Por ello, decimos a todos sin excepción que el objetivo de esta tregua es reconciliar a la Humanidad y, después de los Juegos Olímpicos comenzaremos el proceso de toma de decisiones incluyente con el desarme, colocando todas las armas bajo el mando humano, lo que lleva a la suspensión de toda actividad y desarrollo militar, haciendo el desarme no solo posible sino conveniente.

El desarme debe basarse en la razón y la comprensión, que es común a todos, y por lo tanto debe ser un proceso público y transparente para todos los humanos. Excepto por el propósito de dañar, que necesita ser ocultado, la cooperación para el desarme y por el bien común se logra a través de propuestas públicas y transparentes, tal como es el caso de esta misma.

Dado que el desarme solo puede ser universal, y esta universalidad justifica o implica que, además y por supuesto de mantener y cuidar de las condiciones de vida del personal militar, los recursos ahora retirados del uso militar deben redirigirse para facilitar condiciones de vida dignas para todos y para integrar a la humanidad en un sistema de cooperación para el bien común. Excepto por las armas, todo está destinado a servirnos, mejorar nuestro bienestar, empoderarnos a todos y aumentar nuestras capacidades, fomentando así la armonía y el sentido común. Juntos, nos persuadiremos y ayudaremos unos a otros de una manera lógica y natural al mejor comportamiento y uso de los recursos según el interés común.

Y el garante último de los derechos actuales de las personas trasciende a los Estados y es entonces la Humanidad, cuyo principal objetivo es proporcionar paz y seguridad para todos, de modo que nadie sea dañado, forzado o privado de algo de manera involuntaria. La Humanidad debe encarnarse en una ONU renovada liderada por personas con la voluntad, capacidad y méritos para servir a la humanidad.

Carta al COI en PDF

LLAMADA A LA RECONCILIACIÓN HUMANA

Es importante usar nuestra inteligencia para entender y reconocer lo que significa nuestra humanidad que no permite una ‘paz parcial o limitada’ y por eso se dice que la guerra es ‘absoluta’.

En el pasado los grupos humanos estaban aislados e incomunicados y la toma de decisiones excluyente que conlleva la confrontación era inevitable, por ello los humanos se han organizado en unidades armadas o estados, pero en nuestro tiempo podemos reconciliarnos (y perdonarnos, ya que no estaba en nuestras manos no dañarnos) y establecer la paz o toma de decisiones incluyente, que evita y previene el propósito de daño e implica la cooperación por el bien común.

Sin embargo, la primera decisión incluyente tiene que ser el desarme, la renuncia a la intención o propósito de destruir al otro, que es el objeto del arma, pues sin esa renuncia, tal como sucede con la ONU, no puede darse decisión inclusiva alguna, ya que el propósito de destrucción (del otro) condiciona todo lo demás, tanto que la cooperación no solo no puede ser inclusiva sino que se da solo realmente contra terceros.

¿Por qué es esto así? Por nuestra humanidad, que es única y es de todos, que nos pone en lugar del otro y proyecta y anticipa, y por eso nos sometemos al que nos amenaza, de modo que la consecuencia inevitable de querer dañar, aunque sea a uno solo en el mundo, equivale a dañar a todos, pues esto fuerza a los demás a tomar partido, y donde se usa la fuerza se priva de libertad.

Esto ya lo vieron los sabios pacifistas que se llamaban cosmopolitas, pues entendían que la paz no era otra cosa que la ley natural, la ley del Cosmos y Mozi, la versión cosmopolita oriental, cuya doctrina es el Amor Universal, afirma que este amor es la Voluntad del Cielo que ha dispuesto las cosas de tal modo que no podamos unos tener paz y otros no como consecuencia de esa capacidad virtual humana. Asimismo, para Mòzǐ el amor no es idealista, una voluntad que se enfrenta al mundo, sino la consecuencia lógica de la universalidad

Dice Mozi 小取 – Ilustración Menor -7

愛人,待周愛人而後為愛人。不愛人,不待周不愛人;不周愛,因為不愛人矣。乘馬,不待周乘馬然後為乘馬也;有乘於馬,因為乘馬矣。逮至不乘馬,待周不乘馬而後不乘馬。此一周而一不周者也。

Amar a la gente requiere amar a toda la gente para que cuente como amar a la gente; pero no amar a la gente no requiere no amar a nadie para que cuente como no amar a la gente.

Montar a caballo no requiere montar a todos los caballos para que cuente como montar a caballo; basta haber montado un caballo para que implique montar caballos.

Por contraste, no montar a caballo requiere no montar ningún caballo para que cuente como no montar a caballo.

Esto es “uno requiere todos y otro no todos”.

Para reconocer esa condición de nuestra humanidad que es evidente convocamos un día de la Reconciliación el 30 de enero de 2025. Hasta ese día, compartimos, difundimos y apoyamos tanto como podamos este mensaje y la convocatoria y el día 30 mismo nos aseguramos de que esta comunicación llega efectivamente a toda la Humanidad con lo que comenzamos el desarme poniendo todas las armas bajo un mando humano, pues, al no ser más que solo unas por otras, suspenden su actividad y desarrollo y el desarme no solo es ya posible sino conveniente.

Ni siquiera ese mando entonces puede generar iniciativa de daño, pues sería la absurda y contradictoria situación de uno que a la vez se ataca y se defiende a sí mismo. Más aún, el mando no está en lo más alto de la jerarquía pues solo un arma constituye una jerarquía, pero aquí el mando es sobre todas ellas que no componen jerarquía. Todo esto nos lo proyecta igualmente la inteligencia de esa humanidad que tenemos que reconocer y aceptar.

Qué ha cambiado desde la Guerra Fría: La Gran Muralla y el Caballo de Troya.

He ido a Berlin 35 años después de haber estudiado en la Universidad Libre de Berlin (FUB). Había sido activista por la paz o desarme en la UAM de Madrid impactado por la posible guerra nuclear a principios de los 80, punto álgido de la Guerra Fría, y cuando llegué a Berlín en un viaje de dos semanas me quedé impresionado por el entusiasmo y las actividades a favor de la paz y desarme y decidí quedarme confiando que mi esfuerzo tuviera más fruto (y a veces pienso que lo conseguí). Acabo de visitar la FUB y sus estudiantes se preocupan ahora de que los alquileres son altos, piden servicios psicológicos para todos y lo único con tono político es una convocatoria para manifestarse contra la derecha (“gegen rechts”).

Más tarde, he visitado la Universidad Humboldt, en su mástil la bandera ucraniana y en su gran vestíbulo un ‘bosque’ de columnas cada una bajo el título: CERTIFICADO SIN USO y la foto de la cara de un fallecido, sus estudios y los detalles de su cruel muerte a manos los de los rusos en la “invasión no provocada de la Rusia del criminal Putin”.

Si Putin es un autócrata y los jóvenes rusos también están muriendo debido a su cruel y maligno despotismo, esos jóvenes rusos deberían ser recordados en ese bosque del vestíbulo de la Humboldt. Esto no es un juego de palabras, el despotismo y la guerra es lo mismo, son los dos lados de la misma moneda, pues el despotismo es la forma del arma entre los humanos; la jerarquía o relación de total desigualdad que solo admite la relación violenta e inhumana, y que fuerza a matar y dañar, ¿por qué entonces pretender que solo Rusia es despótica y el Oeste, y cada uno de los países occidentales, no lo es? ¿Acaso no es una unidad armada cada estado?

En mi opinión, lo que ha cambiado tras la Guerra Fría hasta ahora en la FUB (seguramente en la Humboldt poco o nada) es que entonces la FUB tenía por objeto, como todo en Berlín Occidental, provocar al bloque del Este con su “libertad” para iniciativas que no surgían del estado como en el bloque del Este, tales como la visualización del feminismo, homosexualidad, el deterioro del medio ambiente, la paz, el desarme, etc., o, sobre todo, con su riqueza (precisamente he oído que cierra KDW – Kaufhaus des Westen – similar al de Harrods en Londres, creado para despertar la envidia consumista en el Este) así como, en general, la profusión de productos de consumo que hacían de Berlín un sueño para los ‘ossies’.

Este es el modo como la democracia liberal, introduce su caballo de Troya y vence globalizándose con la ventaja de poder imprimir dólares y poder comprar cualquier cosa de interés, incluidos los medios de comunicación y formación política, frente a la cerrazón y rechazo de los otros países cada vez más autoritarios o iliberales, violadores de derechos humanos, etc., tal como sucedió en China, donde Mao cerró el paso a las potencias que habían establecido allí sus intereses en la época del Kuomintang, Partido Nacionalista, ahora en Taiwan, al que Mao acusaba de no ser suficientemente nacionalista, y así sucedió también en Rusia, donde la crisis del año 98 supuso un punto de inflexión en el paso de la apertura democrática liberal de Yeltsin al mayor control estatal con Putin hasta su autoritarismo/nacionalismo actual.

Ciertamente que los líderes occidentales creen y fuerzan a creer y confesar mediante elecciones (plebiscito) que esa es la forma real de ‘progreso’, ya que no hay otra alternativa -la paz es algo ‘imaginario’, ‘falso’, y solo nos cabe el ‘progreso material (y el progreso de los derechos en la historia) aunque se mantiene exactamente la misma desigualdad y abuso o más que desde que el estado comenzó a existir. ¡Pero, un momento¡ Resulta que ese mismo era el diseño estratégico, y la misma buena intención del comunismo; utilizar igualmente el caballo de Troya o quinta columna de la clase obrera en todos los países para establecer un sistema unificado del mundo momento en el que se logra la máxima paz o, en cualquier caso, máximo dominio del hegemón, entonces la Unión Soviética (y es a eso a los que se oponen Hitler, quien señala bien que ese fue el motivo del armisticio alemán en la Primera Guerra Mundial, y Mussolini, un ex socialista. Y resulta que ese mismo era el proyecto de Napoleón, conquistar el mundo para extender la democracia, cuyos seducidos por el en España se les llamaba «afrancesados», o la monarquía hispánica, que iba con sus misioneros para esas gestiones, o del sistema confuciano chino, del Islam, es el proyecto de cada imperio, la conquista o dominio total basado más que en la conquista en la penetración ideológica, el engaño del caballo de Troya o tal como en la figura del yin y el yang, la parte blanca tiene un punto negro y la negra un punto blanco, y utilizar esos puntos de apoyo en la parte contraria es como se logra la conquista.

Recuerdo que ya el día mismo que se lanzó HUM en la Casa del Reloj de Madrid de Arganzuela el 3 de febrero de 2018, una señora, extraordinariamente inteligente, sensible discreta (la madre de Azucena) me preguntó que cual era la diferencia entre el proyecto de HUM y el de Alejandro Magno, pues Alejandro propagaba este propósito de unidad humana como medio de la paz y tomaba sus decisiones políticas y aun personales de acuerdo con él y las proclamaba a bombo y platillo. Pues bien, la respuesta es fácil, la diferencia es que si la ideología está al servicio del arma, no se puede producir un momento en el que prescinda de ella, incluyo si el mundo entero queda un día bajo un único mando, como casi lo ha sido EEUU recientemente, o igualmente se engaña China con su visión, basada en el Confucianismo, de un mando unificado y benevolente sobre el mundo que impone o facilita la paz jerárquica, pues un arma son todas las armas opuestas posibles y un arma es un arma incorporada e implica la desigualdad jerarquía o injusticia absoluta que impide la humanidad y el sentido común y solo permite la relación violenta. ¿Cómo pueden las armas traer paz, si es lo mismo el arma que la guerra?

Por eso, amigos, insisto una vez más que la paz es nuestra responsabilidad como personas, como seres humanos, y no como miembros del arma, de la jerarquía, sea en la posición o rango que sea y no es algo difícil, pues se trata, no ya de de revelar o explicar algo claro, sino solo de llamar la atención sobre el arma y pedir o incluso exigir a los demás seriedad en esto y no ocultarse tras molinos de viento, ideologías, humo, pues está a la vista y es obvio para cualquier sentido común que tenemos que unirnos contra ella para desarmarnos, para vivir de acuerdo con nuestra humanidad, con nuestro sentido común que es la forma que tenemos de entendernos -algo que ciertamente en el pasado era inviable y, por tanto, también, realmente más confuso, pero que ahora tenemos a nuestro alcance convocando a la reconciliación de la Humanidad el 30 de enero de 2025.

DE LA GUERRA A LA PAZ

EL ARTE DE LA GUERRA DE SUNZI Y EL ARTE DE LA PAZ HOY

Comparto la Presentación de un curso que voy a impartir online en CEDEGYS

(Ni que decir tiene que si os animáis o conocéis a quien le puede interesar, sois bienvenidos)

El Arte de la Guerra

El Arte de la Guerra de Sunzi comienza así:“兵者,国之大事,死生之地,存亡之道,不可不察也。””La guerra es el gran asunto del estado, su vida o su muerte, el camino a su salvación o su ruina, por lo que es su prioridad”. Y añade: 兵者,诡道也 “El arte de la guerra es el engaño”, pero, en contra de lo que podría pensarse, no se engaña solo al enemigo, sino principalmente al pueblo, al que se sitúa en la precariedad como medio para su manipulación o gestión y del que se necesita y busca además que ponga voluntariamente su vida en manos del líder. Al compararlo con La Ilíada, de la misma época, igualmente dedicado a la guerra y con el mismo carácter fundante para la civilización occidental vemos que generalmente el engaño en Occidente se basa la figuración, mientras que en Oriente en la ocultación. Pero, por ello, sabemos que la paz ha de buscarse en la verdad, en el desengaño y el desvelamiento.

El Arte de la Paz

La paz no es (solo) la ausencia de guerra sino el desarme, pues el mal -el propósito de daño y la injusticia- es el arma, que no es causa de la guerra sino, como dice Cervantes “lo mismo que la guerra”.

El arma es la injusticia, porque la necesaria pertenencia humana a un arma (unidad armada o estado) se hace mediante incorporación en un sistema de total desigualdad o jerarquía, que se generaliza y agudiza mutua y universalmente, pues estamos forzados todos a organizarnos de esa forma, so pena de ser absorbidos o sometidos en la parte más baja de otra pirámide.

La existencia del arma es la guerra absoluta, ya que un arma equivale a todas las armas posibles y a las más dañinas posibles, y cuando la amenaza entre ellas no es decisiva para establecer el sometimiento o rango se sigue la guerra (caliente) –“el intento o acción de desarmar al enemigo”, según dice Clausewitz.

El arma es por sí misma (o unas armas por otras), no depende del ser humano, al que no le cabe más que incorporarse o someterse a (la finalidad del arma) el mal y matar (o morir sobre todo como desertor) de modo que la unidad armada se extiende y consolida principalmente en función de la geografía que pone límites entre ellas.

La condición de la paz o desarme es la participación de todos y cada uno de los humanos, universalidad de la que se carecía en el pasado en un mundo ignoto e incomunicado y, en consecuencia, el entendimiento de la paz como relativa a la humanidad ha sido perseguido, ocultado y tergiversado, pues solo debilitaba al estado, pero hoy es ya posible en nuestro mundo globalizado. Aunque, ciertamente, el estado (la violencia) no puede ser agente de la paz, pero tampoco se opone, pues solo tiene sensibilidad mecánica, relativa a la fuerza.

En ausencia de violencia, la gestión tanto del desarme -que es la unión o universalización de la humanidad- así como nuestro ‘gobierno’, consiste y tiene su garantía en la publicidad de las intenciones o propósitos de lo que afecta/concierne a los demás (comenzando con este), pues, salvo las armas, todo es para servirnos y acorde con el sentido común. Dado que un arma son todas las armas y para el desarme es necesario el acuerdo y la participación de todos los seres humanos sin excepción, así se genera indivisible el bien común, tanto de lo que de inmediato ahorramos en armas como en el resultado del desarme, que es la Comunidad Humana.

KANT: «LA DEMOCRACIA ES EL MAYOR DESPOTISMO»

KANT: “LA DEMOCRACIA ES LA MAYOR FORMA DE DESPOTISMO, CAUSA DE GUERRA”

La paz

La paz no es (solo) la ausencia de guerra sino el desarme o la unidad humana que sustituya a las unidades armadas, cuya existencia solo es y se justifica como unas contra otras, y esto mediante el (compromiso humano en el) uso de la verdad para relacionarnos, algo a lo que solo un tonto podría renunciar, o aceptar que se le prive, pues es a la vez ceguera y esclavitud. Pero el engaño es el modo como el líder se hace necesario.

La guerra

El primero que se ocupó sistemáticamente de la guerra, Sunzi, con su Arte de la Guerra, comienza su tratado así: 兵者,國之大事,死生之地,存亡之道,不可不察也 – “La guerra es el gran asunto del estado (la unidad armada), su vida o su muerte, el camino a su salvación o su ruina, por lo que en ningún caso puede dejar de ser priorizada”. (Lógicamente, el Arte de la Guerra de Sunzi trata de cómo vencer siempre).

Y Sunzi Añade: 兵者,詭道也 – «El arte de la guerra es el engaño», de modo que así sabemos también que el arte de la paz es la verdad; esto es, que los humanos tomemos las decisiones públicamente, justificando ante el juicio de los demás el propósito de lo que pretendemos, con lo que se evita, previene y elimina el propósito de daño (el arma) y el daño (la guerra) y se busca solo (la cooperación por) el bien común. Algo ciertamente imposible en el pasado en un mundo desconocido, pero en nuestros días, cuando el mundo ya está en comunicación, el fomento y apoyo al genocidio enviando armas en lugar de usar la verdad para buscar el entendimiento, es solo un error producto de la confusión y la ignorancia, por lo que no podemos ya seguir reprimiendo la cruda verdad en algunos aspectos más detallados.

La paz es simplemente la unidad humana

Zenón de Citium es el principal exponente del cosmopolitismo occidental al tiempo que fundador del estoicismo, aunque sus maestros los cínicos, los auténticos seguidores de Sócrates, de los que no sabemos más que cómo les insultaban eran ya cosmopolitas. Zenón llama a su propuesta cosmopolita o de paz para el mundo La República, en su sentido de res publica, de asunto público, obra que «se ha perdido» y no ha llegado hasta nosotros, pero sabemos de ella y de su popularidad por diversos autores antiguos. Por ejemplo, Plutarco, que dice:

“la tan admirada República de Zenón…apunta únicamente a esto, que ni en las ciudades ni en los pueblos debemos vivir bajo leyes distintas unas de otras, sino que debemos considerar a todas las personas en general como nuestros compatriotas y conciudadanos.” Plutarco, La Fortuna de Alejandro, 329 A-B​

Mòzi tiene básicamente el mismo planteamiento en China

今有一人,入人園圃,竊其桃李,眾聞則非之,上為政者得則罰之。此何也?以虧人自利也。至攘人犬豕雞豚者,其不義又甚入人園圃竊桃李。是何故也?以虧人愈多,其不仁茲甚,罪益厚

Supón que uno entra en el huerto de otro y le roba los melocotones y las ciruelas, si lo oye el público, le condenará, y se lo entregará a las autoridades para que lo castiguen. ¿Por qué? Porque daña a otros para beneficiarse. Si roba las gallinas o los cerdos, es todavía más injusto, ¿por qué? Porque le causa más sufrimiento y es más inhumano y criminal..

殺一人謂之不義,必有一死罪矣,若以此說往,殺十人十重不義,必有十死罪矣;殺百人百重不義,必有百死罪矣。當此,天下之君子皆知而非之,謂之不義。今至大為不義攻國,則弗知1非,從而譽之,謂之義,情不知其不義也,故書其言以遺後世。若知其不義也,夫奚說書其不義以遺後世哉?今有人於此,少見黑曰黑,多見黑曰白,則以此人不知白黑之辯矣;少嘗苦曰苦,多嘗苦曰甘,則必以此人為不知甘苦之辯矣。今小為非,則知而非之。大為非攻國,則不知2非,從而譽之,謂之義。此可謂知義與不義之辯乎?是以知天下之君子也,辯義與不義之亂也

El asesino de una persona es un criminal y se le condena a muerte y el asesinato de diez personas merece diez penas de muerte, pero cuando se trata de cometer genocidio, no lo condenamos, sino que lo aplaudimos y decimos que es lo correcto. Es como uno que ve un poco negro y lo llama negro, pero si ve una gran oscuridad dice que es blanco, o uno que tras probar algo amargo, dice que es amargo, pero si prueba algo muy amargo dice que es dulce, pues de la misma manera sucede a aquellos que no distinguen lo justo y lo injusto. (Mòzi, Libro V-1 y 2) Traducción propia resumida.

Por eso la filosofía de Mòzi es conocida como el Amor Universal, pues nos muestra que la simple convivencia humana «universal» nos lleva de modo natural y como su consecuencia a que nos convenga a todos la cooperación por el bien común, así como la paz y la concordia, y a que todos nos influyamos y apoyemos mutuamente por y para ello, a adaptarnos para el bien de la comunidad. El igualmente Mòzi muestra que, por el contrario, la causa y el origen de la miseria y la guerra entre los humanos es el producto de la «parcialidad», de la toma de decisiones excluyente.

La unidad humana ha de ser republicana

Y así Kant luego, como Zenón, establece como la Primera Clausula Definitiva para la Paz Perpetua que el sistema de estado de la relación humana debe ser republicano, es decir, basado en la res pública o trato público, abierto, de los asuntos comunes, pues todos sabemos lo que es correcto o justo y lo que es injusto e incorrecto, tal como nos ha mostrado Mòzi.

Pero antes de seguir con Kant, conviene añadir algo sobre Sunzi, pues podríamos haber asumido, en un error harto fácil y común, y aún más propio de Occidente, de pensar que el engaño solo refiere a engañar al enemigo, lo que no es así, ni siquiera principalmente, pues la tarea del líder es engañar a su pueblo o súbditos para obtener de ellos el máximo rendimiento para el estado, propiamente la unidad armada -al que entregan el cuerpo, el alma y la vida, para lo que es clave ponerles en la máxima precariedad de modo que estén en necesidad y disposición a darlo todo, hasta la vida misma, como único medio de salir adelante:

將軍之事,靜以幽,正以治,能愚士卒之耳目,使之無知。易其事,革其謀,使人無識,易其居,迂其途,使人不得慮。帥與之期,如登高而去其梯,帥與之深,入諸侯之地而發其機。若驅群羊,驅而往,驅而來,莫知所之。聚三軍之眾,投之于險,此將軍之事也。

“El líder habilidoso conduce a sus hombres como si fueran un solo hombre, quieran o no, de su mano. Su negocio es la discreción y asegurar el secreto; recto y justo, para mantener el orden. Tiene que ser capaz de mistificar a sus oficiales y hombres con informes y apariencias falsas y mantenerlos en total ignorancia. Mediante el cambio inesperado e inexplicado de planes mantiene al enemigo sin conocimiento. Cambiando su campamento y tomando rutas circulares previene que el enemigo anticipe su propósito. En el momento crítico, el líder actúa como uno que ha subido a una altura y da una patada a la escalera que deja atrás. Lleva a sus hombres profundamente en territorio hostil antes de mostrar su mano. Quema sus barcos y rompe sus ollas, como un pastor lleva al ganado, guía a sus hombres de modo que nadie sabe dónde va. Manejar a sus hombres y llevarlos al peligro (precariedad) es la tarea del líder.” Sunzi, El Arte de la Guerra, Libro XI

Este es solo uno de los párrafos entre otros del Arte de la Guerra de cómo el líder tiene que gestionar a sus hombres, poniéndoles en la máxima precariedad, que también consiste en proporcionarles información falsa, mistificarles con figuraciones o como sea para confundirles y desorientarles generándoles así la necesidad de alguien que les guíe, de liderazgo y  este a su vez puede conseguir esa entrega o sumisión máxima de estos para ir a la muerte (matar o morir).

Esto no nos lo cuentan en Occidente, pues a diferencia de Oriente donde Sunzi escribe en privado, en el sistema democrático y público de ciudades griego y romano se utilizan otros recursos para el control, manipulación y embrutecimiento del pueblo, principalmente de la juventud, los recursos principales para la guerra, algo que identificó bien Sócrates, acusado literalmente de «no creer en los dioses de la polis y corromper a la juventud», sobre quien se miente abiertamente en nuestro tiempo; compárese lo que dice la Wikipedia y los libros de texto de secundaria y universitarios de que su filosofía es “solo se que no se nada”, cuando si leemos la Apología, que nos relata su defensa ante el tribunal ante el cargo antedicho, manifiesta por activa y por pasiva que él solo tiene un conocimiento humano, sobre los fines de las cosas, pero no sobrenatural como sus conciudadanos pretenden para saber sobre los dioses (si era tan guapo Apolo realmente o tan larga la barba de Zeus) que las polis, cada una con sus dioses, utilizaban para manipular, desorientar, corromper y embrutecer a la juventud y hacerlos matarse en su nombre. Pues, en efecto, tal conocimiento de dios o los dioses hace dependientes a los que no tienen el contacto con él o su revelación directa y así igualmente los otros no solo quedan desorientados sino sometidos. Por eso la reacción de los cínicos, los seguidores de Sócrates, fue el cosmopolitismo, como forma de la paz, del uso de la verdad o sentido común. Mientras que la polis financió a Platón la academia para encauzar el daño causado por Sócrates y, en efecto, la convivencia humana o toma de decisiones incluyente era realmente imposible en su tiempo.

Kant sabe todo esto, por eso su interés en la razón, común a todos los seres humanos y toda su filosofía gira alrededor de eso, y hoy le hacemos homenaje en su año de aniversario y queremos hacerle también un poco de justicia frente a la tergiversación y engaño con el que se le trata. (Aunque esto es lugar común en las instituciones educativas, así he mencionado arriba el caso de Sócrates, el de Zenón, cuyo libro sin duda fue perseguido y purgado como para que desaparecieran todas sus copias, y a los moístas, los seguidores de Mòzi, también citado arriba, los echó a una gran hoguera junto a sus libros el Primer Emperador cuando unificó China, pero hemos tenido la suerte de que nos han preservado su obra los taoístas oculta en su ‘Patrología’ y solo no hace mucho lo hemos recuperado, y es caso tremendo el feroz y masivo ocultamiento y tergiversación de Cervantes en España, por lo que te recomiendo mi libro El realismo ejemplar del Quijote, de libre disposición en academia.edu.

Kant sabe que la paz es el uso de la verdad, en lugar de las figuraciones y mistificaciones, algo que, como sabían los antiguos cosmopolitas, ocurre con la unidad humana, pues la verdad remite a todos los humanos, mientras que la mentira de las figuraciones es obra e imposición del estado y aneja a su actividad, la guerra, y ese es también el proyecto de Kant, de Zenon, de Mòzi, de Sócrates, de Cervantes.., y la idea de Kant de la paz perpetua se basa en la idea de unidad humana o confederación de repúblicas, donde república, res pública, refiere, como hemos mencionado antes, a la publicidad de las más máximas o propósitos a la hora de tomar decisiones de modo que todos sin excepción estemos avisados y de acuerdo de lo que hacemos en común, de lo que nos concierne junto a los otros.

Pero a Kant ya le había puesto sobre aviso Rousseau en su comentario a la propuesta de Paz Perpetua del abad de Saint Pierre, quién había propuesto sin éxito un parlamento europeo permanente para garantizar la paz en Europa, en el que las disputas se tratarían mediante consenso, arbitrio o juicio, pero nunca mediante guerra. Rousseau dice que el proyecto del abad fue rechazado por:

“la diferencia entre el interés real y el aparente; el primero se encontraría en la paz perpetua, mientras que el segundo en la independencia total (lógico en la unidad armada -algo que les falta entender a muchos pero que explica muy bien Cervantes). Los reyes, o quienes ocupan sus funciones, solo se ocupan de dos objetivos: extender su dominio hacia el exterior y hacerlo más absoluto en el interior. Toda otra meta, se orienta a una de aquellas dos, o únicamente la sirve de pretexto.”

“¿Cómo podría el soberano soportar sin indignación la sola idea de verse forzado a ser justo no solo con los extranjeros sino con sus propios súbditos…..Es fácil entender que la guerra, por un lado, y el despotismo, por otro, se potencian mutuamente…En definitiva, puede darse por sentado que los príncipes conquistadores al menos hacen tanto la guerra a sus súbditos como a sus enemigos…. En cuanto a los contenciosos, ¿puede esperarse que se vayan a someter a un tribunal superior aquellos que se vanaglorian de que su poder es fruto de la espada?… Rousseau, Jean Jacques. Oevres Completes 2, “Projet de Paix Perpetuelle de L’Abbé de Saint Pierre, Editions du Seuil, 1971, Paris, pp. 348-49. (Traducción propia)

Al aspecto republicano de la paz perpetua que prevenga el despotismo, al que Rousseau atribuye la causa de que no se haga la paz o reverso de la guerra, refiere Kant directamente con el Primer Artículo Definitivo de la Paz Perpetua: la condición del gobierno o gobiernos cosmopolitas como republicanos, en su carácter originario de res pública, como Zenón, cuyas características señala Kant son la “libertad”, la “igualdad” y la “dependencia” (la inclusividad de Mòzi), pues este modo de regirnos se contradice con el engaño y con la imposición o forzamiento.

Propongo al lector que lea directamente la cláusula, pero la voy a seguir yo aquí un poco. Añade Kant que el republicano es “el sistema de la clara fuente del concepto de derecho”. Y del concepto de derecho o de su “fórmula transcendental” habla en el Anexo II de la Paz Perpetua, como aquel que “aún desprovisto de todo contenido” define como INJUSTA “aquella acción que afecta al derecho de los otros cuya máxima no admite publicidad”. Y para la Paz Perpetua acaba proponiendo otro principio transcendental de derecho público que reza: “todas las acciones que necesiten publicidad para llevarse a cabo (es decir que no nos son impuestas) puede decirse que concuerdan con el derecho y la política a la vez”. Lo que es precisamente este caso de la propuesta de paz perpetua que tanto Kant como nosotros os proponemos a todos los humanos en el sentido de la toma de decisiones humana pública o incluyente. (pues la diferencia de idioma o cultura no es relevante, los fines son lo relevante) y en ese sentido esa propuesta de paz o unidad humana es lo mismo que el desarme, pues esa misma publicidad de los propósitos o máximas en unidad humana evita, previene y elimina el propósito de daño -el arma, propiamente las unidades armadas, los estados.

Y más allá de esa garantía que nos da la publicidad de las máximas o los propósitos, realmente la sola y simple convivencia como dice Mòzi, nos lleva a todos a todos al uso de la Regla de Oro, trata al otro como quieres ser tratado; a adaptarnos a nosotros mismos, lo que principalmente significa que no solo renunciamos al uso de la violencia sino a la alabanza, la persuasión y el premio a aquellos que más contribuyan a la comunidad y la aporten concordia y armonía que es del beneficio de la comunidad y de la misma manera unos a otros mutuamente nos disuadiremos, reprenderemos a aquel que dañe o tenga propósito de daño a otros o promueva la discordia y le ayudaremos y le persuadiremos frente a tales propósitos o actitudes de una manera consecuente y natural, algo que no podemos superar ahora, pues el arma nos afrenta sin remedio, y por ello fomentamos y necesitamos, por ejemplo, la “ira”, como la de Aquiles, para lanzarla contra el enemigo.

La democracia como la forma de gobierno más despótico

Así, ahora, sin embargo, se nos dice en los institutos y en las universidades que para alcanzar la paz perpetua los estados deben ser demócratas y añaden que a eso se refería Kant con la expresión republicanos, incluso durante muchos años, suplantando el planteamiento de Kant, se ha mantenido la idea y hay miles y miles de publicaciones en los registros de que los países democráticos no pueden hacer la guerra entre sí y que la democracia es el fin de la historia y semejantes afirmaciones sobre la democracia que la han hecho al día de hoy, más que una confesión una superstición. E insisto, es particularmente curioso como la ideología democrática ha hecho de Kant una de sus fuentes teóricas. Sin embargo, lo que Kant explícitamente dice de la democracia es que es el sistema más despótico, el sistema más opuesto al republicano, aquel en el que se se elimina la res pública como podemos ver en España, que no se trata públicamente de cuestiones relativas al bien o interés general sino solo del mayor o menor apoderamiento de los partidos sobre la ideología y de los resortes de poder, con lo que la democracia elimina el concepto de república para considerar la función pública del estado como un bien privado del que lucrarse en competencia con otros. Por ello se manifiesta ciertamente el más opuesto a la república (res pública) y más explícitamente secreto, volcado en la mentira, como asumiendo que todo es mentira -la única cuestión es si son capaces otros de evidenciarla, la manipulación en el uso de argumentos, donde no importa el criterio y todo vale si suma, y la corrupción en el sentido del concepto directo del uso privado de los público.

Ciertamente, podría pensarse que Kant sostiene esta visión de la democracia como despotismo por excelencia ya que no le cabe otro remedio, pues se debe a la constitución del estado en el que el mismo se encuentra, un sistema monárquico, pero lo que nos importa es la precisión de su argumentación y análisis, que nos remite realmente muy bien a lo que vivimos en las democracias, así en las modernas como en las antiguas. Lo expone así Kant (yo no quito ni pongo una coma, solo la negrita -e insisto en invitar al lector a leer la Paz Perpetua de Kant y esta Primera Cláusula Definitiva de la Paz Perpetua):

“Para no confundir la Constitución republicana (como sucede normalmente) con la Constitución democrática, se debe insistir en lo siguiente. Las formas de un Estado (civitas) pueden ser clasificadas por la diferencia entre las personas que poseen el poder supremo del Estado o por la forma de gobierno del pueblo que ejerce su soberano, sea éste quien sea; a la primera se la llama en realidad forma de la soberanía (forma imperii), y sólo tres formas son posibles: aquélla donde una sola persona posee el poder gobernante, o bien algunas personas vinculadas entre sí, o bien todas las que constituyen la sociedad civil en su conjunto (autocracia, aristocracia y democracia, poder del príncipe, poder de la nobleza y poder del pueblo). La segunda es la forma del gobierno (forma regiminis) y concierne al modo basado en la Constitución (el acto de la voluntad general, por la que la masa se convierte en pueblo), por el que el Estado hace uso de la plenitud de su poder: y es, en relación con esto último, o bien republicana, o bien despótica. El republicanismo es el principio de Estado de la separación del poder ejecutivo (del Gobierno) del legislativo; el despotismo es el arbitrario cumplimiento del Estado de las leyes que él mismo ha proporcionado, junto a una voluntad pública tomada por el regente como su voluntad privada. Bajo las tres formas de Estado es la democracia, en el verdadero sentido de la palabra, necesariamente un despotismo, porque fundamenta un poder ejecutivo en el que deciden todos, aunque sea en contra de uno (que de esta manera no asiente), es decir, todos, que a su vez no son todos; lo cual constituye una contradicción de la voluntad general consigo misma y con la libertad. Toda forma de gobierno que no sea representativa es en realidad una no forma, porque el legislador no puede ser en una y la misma persona al mismo tiempo ejecutor de su voluntad (de la misma manera en la que lo universal de la premisa principal de un silogismo no puede ser al mismo tiempo la subsunción de lo particular en la premisa menor); y aunque las otras dos Constituciones de Estado son hasta este punto siempre defectuosas, pues proporcionan espacio a una tal forma de gobierno, es de todas formas posible que adopten una forma de gobierno en concordancia con el espíritu de un sistema representativo, como al menos decía Federico II: que él era sólo el servidor primero del Estado, lo cual es imposible en la Constitución democrática, pues todo el mundo quiere ser soberano. De esta manera se puede decir que cuanto menor sea el personal del poder del Estado (el número de los soberanos), tanto mayor será la representación de los mismos, tanto más concordará la constitución del Estado con la posibilidad del republicanismo, y puede tener la esperanza de, a través de reformas paulatinas, elevarse por fin hacia ella. Por esta razón, llegar a esta única Constitución totalmente jurídica es más difícil en la aristocracia que en la monarquía, y en la democracia, sin embargo, es imposible llegar de otra forma que no sea la revolución violenta. Pero el pueblo tiene un mayor interés, sin comparación, en el modo de gobierno que en la forma de Estado (al mismo tiempo que la mayor o menor adecuación a aquel fin tiene mucha importancia también). A esta forma de gobierno conforme al concepto de derecho, sin embargo, pertenece el sistema representativo, en el cual es posible una forma de gobierno republicana, sin la cual (sea cual sea la Constitución) [el gobierno] sería despótico y violento. Ninguna de las antiguas, así llamadas, repúblicas ha conocido esto, y tuvieron que disolverse efectivamente en el despotismo, que bajo el poder supremo de uno solo es aún la forma más soportable de entre todas.”

Y así es en efecto también que el sistema democrático es el que asume con mayor decisión el estado de guerra, tanto civil como internacional, y como la guerra es el engaño no considera de interés dar cuenta de por qué, sobre que fundamento se toman las decisiones, cuales son los problemas, que alternativas se manejan, etc. (solo se hacen elecciones). Lo vemos en televisión; no hay debates sobre el interés de la nación en una búsqueda sincera de resultados, todos es politiquería deleznable. En países “autoritarios” como Rusia, China, en los que he vivido, aunque creo que sucede así también en Francia me parece, abundan los debates sobre el interés del estado y la nación y las propuestas relativas a la solución de problemas o posibles mejoras, aquí el discurso público refiere solo a la profundización de la democracia sin reparar en contenido alguno -y sus intelectuales y referencias son los que se dedican ese monotema. Igualmente, el estado en esos países no democráticos busca a los mejores, a los más preparados, a los que más pueden aportar a la sociedad, se les reconoce su valía, mientras que aquí en España se les margina del estado y, así también, de la sociedad.

En España, y pienso que en general en los países democráticos, así también parece ser en Alemania, y sobre todo EEUU, el interés general no existe, tan solo el partido que logra el gobierno busca directamente su propio interés y el de su clientela pues en eso ha devenido el interés general, algo contradictorio y absurdo como señala Kant, pues lo consigue precisamente en contra de su oposición y a la búsqueda de su menoscabo para perseverar en el poder sin otro propósito y los intelectuales del país llegan a serlo solo orgánicos por su mayor o menor apoyo “a la democracia”, y a la mejora de esta, como si ello solo fuera el único interés y ningún otro, e insisto, lo peor se manifiesta en las relaciones internacionales.

Nota:

En las escuelas les cuentan a los chicos cosas realmente falsas y contra toda evidencia, sobre todo de la virtud pacífica de la democracia y con ella del progreso histórico, a la que suman en un mismo paquete el avance en los derechos humanos y la abolición de la esclavitud como fruto de ese avance moral humano que se manifiesta en la misma ‘buena’ acción política del estado, engañándoles y engañados los mismos maestros, pues para los antiguos esclavos, como nos dice Cervantes de los soldados licenciados, lo peor es el libre mercado de trabajo que no incluye el mantenimiento y cuidado del cuerpo de estas personas, sobre todo cuando son viejos, que les liberan y se ven en la calle ofreciendo lo que sea con tal de que otro les de algo para vivir. Pero, sobre todo, la esclavitud es muy difícil de mantener en los países que hacen la guerra, como le sucedió a EEUU, y así es que los espartanos tenían dos reyes, y los romanos dos cónsules, uno para mantener a los esclavos bajo control en la ciudad, que de otro modo se quedarían solos con las mujeres y los niños, y el otro para ir de campaña. Y también, como la misma abolición de la esclavitud, en las escuelas se enseña el advenimiento moderno de la democracia como un progreso histórico que nos lleva al bien subidos en la Historia y en miles de años de progreso constante en derechos de humanos y animales -precisamente cuando la extinción, por autodestrucción, o destrucción mutua, está a la vuelta de la esquina.

Y lo mismo la falacia los derechos humanos, apoyarlos es tautológica e implícitamente manifestar, confesar, y someterse al más poderoso, pues solo este, el más armado, puede lógicamente «representarlos», «defenderlos» o «imponerlos», mientras obviamos que inunda el mundo de sangre, pues ambos también, derechos e Historia, son, tautológicamente, la cumbre del progreso y se sirven de esas ideas (figuraciones) para legitimarse. Es así ilustrador también el caso del advenimiento de la democracia moderna. Los ilustrados europeos estaban confusos y descontentos con el despotismo ilustrado del siglo XVIII por sus muchas referencias de los modelos políticos antiguos, pero pensaban que eran válidos para las ciudades, polis antiguas, pero no para los estados modernos ocupando extensos territorios y semejante sistema llevaría a la división del país y a ser presa fácil de los otros estados bien unidos y consolidados, por lo que admiraban esos modelos políticos pero no los consideraban practicables. Fue Rousseau, que tenía un buen entendimiento de la antigüedad e inteligencia, el que les expuso la idea de la ‘voluntad general’, la unidad del estado, basada en la unidad armada, que es indivisible y que la democracia solo pone en liza quien controla el poder en su conjunto, tanto el ejército, como la policía y el ministerio del interior, o las finanzas del estado, aquel que obtenga más del 50% de los votos, pero el poder es indivisible, y más aún, refiriendo precisamente a lo que dice Heródoto en su Historia sobre la superioridad militar de los griegos, les explicó también que el estado democrático era mucho más agresivo, implacable y mortífero, apto y pronto para la guerra que los otros modelos de estado, por una serie de elementos como los arriba mencionados, la mayor precariedad que puede generar el sistema, o, como dice Heródoto, porque los griegos luchaban por lo suyo a diferencia de otros ejércitos que estaban formados básicamente por siervos o esclavos que luchaban por los intereses de otro, algo que el mundo entero comprobó con Napoleón y sus maneras, como el reclutamiento y adoctrinamiento nacionalista, etc., frente a los ejércitos compuestos solo por militares profesionales de las monarquías. De esto aprendió el marxismo y quería extremarlo y llevarlo a la conquista del mundo, como podemos leer bien claro el plan en Engels, pero eso es ya otra historia….

FIESTA DE RECONCILIACION

INVITACIÓN A LA FIESTA DE RECONCILIACIÓN DE LA HUMANIDAD EL 30 DE ENERO DE 2025

Por supuesto que esta invitación es para todas las personas del mundo, pero os propongo a los que os llega este documento que la convoquéis y preparéis como voluntarios, pues no podemos esperar del estado, la unidad armada, ni de las entidades que dependen de él que promuevan esta iniciativa de humanidad y de paz que se manifiesta con la bandera blanca y cuyo propósito es el desarme y la unidad y la concordia humana, pues esto es lo que la reconciliación requiere. Hasta el verano comunicamos la convocatoria y tras el verano preparamos la actividad.

Antes quiero presentarme como promotor de esta iniciativa: mi nombre es Manuel Herranz, presidente de HUM, Human Unity Movement (www.human-unity.org) y esta es una iniciativa y quiero daros alguna información sobre mí mismo que podéis comprobar y también me pongo a vuestra disposición para cualquier cuestión.

En 1987 fui contactado por agentes soviéticos en Berlín que estaban dispuestos a apoyarme, ya que trabajaba activamente por la paz y el desarme al tiempo que escribía mi tesis dostoral sobre Humanidad y Desarme en la FU Berlín. No acepté su propuesta, pues entendí que apoyar la paz en el Oeste resultaba en la ventaja del Este.

Había estudiado filosofía en la UAM, de Madrid, pero a principios de los 80 en el punto álgido de la Guerra Fría lo que más impresionaba era la posibilidad de una guerra nuclear por lo que centré mis estudios en la paz. En 1986, cuando ya trabajaba en mi tesis doctoral, llegué a Berlín Occidental y decidí quedarme y continuar mi investigación y actividades allí. Aparte de filosofía, comencé a estudiar Relaciones Internacionales, chino, árabe y ruso, pues decidí que estos eran las principales lenguas del Este, del Sur y del Norte y tras abandonar Berlín en 1989 viajé y estudié la visión de paz de las principales culturas del mundo.

Ahora que de nuevo tenemos delante el abismo nuclear, considerad un punto de vista muy general: la visión de paz en el Oeste y en el Medio Oriente es que Dios, padre o líder, nos hace a todos los humanos hermanos y hermanas, y la principal visión de paz en China es el trabajo de Mozi, el principal rival de Confucio en el siglo V. AC. La enseñanza de Mozi es llamada La Política del Amor Universal, y cito aquí para dar una idea de su principio: “Quienquiera que critica a otros tiene que tener una alternativa. Criticar sin sugerir como mejorar es como intentar detener una inundación con agua o intentar apagar un fuego con fuego. Será inútil. Por eso Mòzǐ dijo: La parcialidad debe ser sustituida por la universalidad.” Mòzǐ nos muestra como todas las calamidades del mundo surgen de la parcialidad así como el beneficio humano y la imparcialidad han de ser producto de la universalidad, debido a nuestra inteligencia o sentido común que nos lleva a ponernos en lugar del otro y no podemos conformarnos con menos de ser iguales. El problema para Mòzǐ, así como para los cosmopolitas occidentales -la principal escuela de pensamiento tanto en el Imperio Romano como en el imperio helénico que iban desde España hasta India desde el siglo III AC hasta el siglo III DC hasta la difusión del monoteísmo- era como superar la parcialidad de las unidades armadas o estados en un mundo desconocido. Pero hoy que el mundo está a nuestro alcance e interconectado, la universalidad y con ella la paz es posible.

El día 30 de enero de 2025 todos los humanos estamos llamados a manifestar nuestra voluntad de convivencia en paz y a crear un órgano de la Humanidad para el desarme y la toma de decisiones incluyente que prevenga el propósito de daño mediante la cooperación por el bien común y tratando a los demás como quisiéramos ser tratados.

La paz no es la ausencia de guerra, la PAZ es el DESARME

El arma, dada en la naturaleza anterior al ser humano, es el objeto (o intención) de daño, que se nos manifiesta -en la mano del otro, en el filo y la punta de la espada, en la explosividad de la bomba, etc., lo que no es el caso por ejemplo de un cuchillo de cocina o una piedra, que no tienen esa mala intención y no nos alarman. Esa mala intención resulta en la ‘guerra absoluta’, pues las unidades armadas buscan por todos los medios aumentar su capacidad de destrucción del otro y limitársela a él. Se imponen o someten unas a las otras mediante la amenaza de destrucción y cuando la amenaza no es suficiente se hace irremediable la guerra, “la acción o intento de desarmar al enemigo”, por eso, la paz no es (solo) la posible ausencia eventual de guerra sino el desarme, que es al tiempo la cooperación por el bien común.

La bandera blanca es el medio de la reconciliación

Pues el arma, que somete a todo a su servicio y no admite otra opción que ser integrada o enemiga, nos fuerza a todos los humanos a incorporarnos en unidades armadas y estados organizados jerárquicamente, modo con que se anula nuestra voluntad personal y humanidad; por eso, para liberarnos necesitamos la bandera blanca cuyo sentido y efecto es el cese universal de la actividad del arma, tanto dañando como amenazando. Si no somos capaces de manifestar nuestra voluntad humana personal mediante la bandera blanca y somos representados por la unidad armada o el estado o tras “ideas” de nuestro estado de guerra previo, será manifestación de nuestro miedo a la amenaza de los otros y proyección de la nuestra.

El desarme es la reconciliación y la unidad humana

El desarme unilateral -tal como hubiera sido necesariamente en el pasado, no es desarme sino, al igual que la derrota, transferencia de la sumisión y servicio de un arma a otra, pues el desarme requiere la universalidad, algo que solo se da en nuestro tiempo y por eso hacemos esta llamada a la reconciliación universal humana que lo es también del perdón, pues hasta ahora cada persona estaba al servicio del arma sin otra opción, por lo que no podemos responsabilizar a nadie.

No hay otro problema entre nosotros los humanos que el arma cuyo propósito de daño debe ser ocultado, pretextado, mientras que la reconciliación humana es la toma de decisiones incluyente mediante la publicidad de cualquier propósito (de lo que pueda afectar a los otros) que evita y previene el propósito de daño y trata solo el bien común.

Si excluimos el arma todo es para servirnos y así su propósito también implica cuándo, cómo, por quién, etc. debe ser (un recurso) utilizado de la mejor manera. Por lo tanto, la soberanía humana no fuerza ni impone nada, su órgano no es más que un nexo de información primero para el desarme y en general para la cooperación, mientras que la unidad o soberanía humana fomenta la concordia como bien común, algo que ahora nos impide el arma, que nos afrenta.

Obviamente, el desarme pacífico no puede ser impuesto, forzado; ha de ser libre, voluntario, pero cada parte se desarma si todos los demás se desarman también, pues la causa del arma es el (otra) arma. El desarme no es posible para uno u otro, para una o para otra parte, necesita de la cooperación de todos, por lo que el ahorro en armas es un bien común, lo que nos motiva (mutuamente) a tratar al otro como queremos ser tratados, y su resultado es la comunidad humana

El alto el fuego y el cese del desarrollo del arma

Aunque la soberanía de la Humanidad requiere el acuerdo unánime de todos los seres humanos y mientras tanto la paz es acatar la soberanía de nuestro estado, pues la acción unilateral en su seno generaría su reacción violenta, la convocatoria a la reconciliación y la manifestación al mundo de la bandera blanca puede servir para que cese el desarrollo armamentístico y para el alto el fuego (en Ucrania, Gaza, muchos lugares de África, allí donde haya conflicto armado), pues ahora sabemos que la paz es el desarme y la soberanía de la Humanidad, y el apoyo y la previsión de esa soberanía ya cercana facilita el acuerdo para la suspensión de toda hostilidad de inmediato sin otra condición previa.

Human Unity Movement, HUM   Mas detalle: www.human-unity.org o manuelhm@human-unity.org

C/Felipe Solano Antelo 19A, 2°A, Guadalajara 19002, Spain, Phone: +34 656339490 App: @HumanUnity

INTRODUCCIÓN A LA PAZ

Suenan tambores de guerra total en Europa mientras vemos en TV el terrible daño que causa en Ucrania y Gaza (quiero decir que en otros lugares sin relevancia estratégica la TV no nos lo muestra) y, aun así, ni conseguimos el alto el fuego allí ni hallamos manera para que no nos ocurra pronto a nosotros, y quizás a todos, lo mismo o aún peor.

Si preguntamos por la causa de la guerra y tomamos como respuesta lo que se dice en las TVs, o en los periódicos o en las redes sociales, la respuesta abrumadora es un mal comportamiento del otro, el enemigo, aunque también se dice a veces que las guerras las promueve el “complejo militar industrial”, el capitalismo o las élites para lucrarse de ellas, pero la verdad es que la guerra, sobre todo si no es subrogada como habitualmente, y es destrucción mutua (y total) como parece sería el caso actual en ciernes, no puede ser beneficiosa para nadie y, por tanto, no es querida por nadie. Y, sin embargo, no parece evitable.

La guerra es la simple relación del arma consigo misma, es decir, la relación de las unidades armadas cuyo desarrollo, progreso o mejora es una mayor capacidad de destrucción del otro, que es el modo como se imponen o someten unas a otras, de modo que sus intereses son expresamente contrarios, pues cada uno busca armarse tanto como puede y desarmar al otro. Y así la guerra es “absoluta” -es lo que ocurre todo el tiempo, como dice Clausewitz, quien define a las operaciones militares concretas como “el intento o acción de desarmar al enemigo”, punto al que se llega irremediablemente si ninguno es capaz de imponerse al otro mediante la simple amenaza que le aporta la superioridad de los medios de destrucción. Tal cual es el temible caso ahora que la supremacía de EEUU está en entredicho, algo, por cierto, bien conocido como “trampa de Tucídides”, por ser esta situación la que según nos cuenta este llevó a Esparta y Atenas a la guerra del Peloponeso, que duró 50 terribles años, sin propiamente otro asunto en particular entre ellos que el contencioso por hegemonía.

El arma da lugar entre los humanos a la unidad armada (el ejército y el estado), que diferencia a las personas entre aquellos subyugados a su sistema jerárquico, articulado así con el fin explícito y preciso de anular la libertad, voluntad y humanidad no solo a sus miembros sino al resto del mundo a los que tal organización irremediablemente absorbería o sometería -salvo que estén organizados de la misma manera para poder resistirlo (y así incluso absorber o someter al primero también). La cuestión es: toda arma es inmediatamente y sin más incorporada o enemiga.

Ese propósito manifiesto de esclavización universal no puede hacerse público -y más que se hace sin querer y como una cadena de reacciones ineludible que experimenta el político, por lo que se usa el lenguaje representativo y figurativo que necesariamente acompaña a la unidad armada, que nos hace también dependientes de quien lo figura y lo consagra, por el que “confesamos” la “cesión” “voluntaria” de nuestra voluntad a nuestros mandos o representantes que, ciertamente, pueden cambiar mediante votación democrática cada algunos años, pero las personas son aquí irrelevantes, pues unos u otros ocuparán los mismos puestos y funciones de la máquina jerárquica.

Lo que importa final y realmente aquí es que todos, tirios y troyanos, la OTAN o Rusia-China, mantenemos públicamente el absurdo de que la paz es solo la ausencia de guerra ocultándonos de una u otra manera que la guerra es nuestra sumisión al arma, a ese sistema de esclavitud universal que maquinalmente nos fuerza o se nos impone a todos mediante el daño o amenaza de daño anulando nuestra humanidad y nuestra voluntad, de modo que, privados de ella, ni siquiera podemos conformarnos, y dejar de hacer la guerra; más que una contradicción, una locura y una pesadilla.

Sin embargo, todos sabemos, y también tenemos registros en todas las diversas culturas humanas pasadas y presentes del conocimiento de la paz o convivencia humana como tratar a los otros como quisiéramos ser tratados nosotros mismos -y no nos conformamos con menos- y esto implica la inclusividad en la toma de decisiones que se garantiza mediante la publicidad de los propósitos o intenciones de aquello que puede afectar a los demás, con lo que, lógicamente, el propósito de daño se evita y nos lleva a todos al desarme y a la prevención del arma mediante la cooperación con el acuerdo de todos.

Algo que hoy día está felizmente a nuestro alcance, pero para lograrlo tenemos que liberar primero nuestra humanidad convocándola con nuestra bandera, la bandera blanca, cuyo uso o efecto es detener la actividad de y por el arma. Esto es difícil como ya comprendes, pues la bandera blanca se considera (históricamente) rendición, algo que depende de la decisión de la autoridad, y por lo tanto está prohibido su uso -y mal vista además, pero hoy día puede ser una representación personal en las redes sociales sin referencia ya al estado de cada uno y así es que tiene o busca un alcance universal de llamada a todos al desarme sin perjuicio para nadie.

PROPUESTA DE PAZ Y DE COOPERACIÓN A LAS INSTITUCIONES EDUCATIVAS

La paz, si es verdadera, obviamente no puede ser forzada o impuesta, tiene que establecerse como un acuerdo basado en una propuesta pública, por lo que ya es novedad de la presente dirigirse a las personas y no (solo) a los estados, de lo que se sigue también que aceptar el acuerdo de paz es compartir la propuesta, pues sería contradictorio apoyarla y negarle la publicidad, que es el medio para su realización. Y el canal idóneo son las instituciones educativas por su carácter reflexivo y universal.
Esta propuesta de paz es al tiempo una convocatoria o invitación a un Día de Fiesta o Reconciliación de la Humanidad el 16 de noviembre de 2024 en el que se manifieste unánimemente la voluntad humana de paz y se convoque un Congreso de la Humanidad en 2025 que sustituye la toma de decisiones unilateral y la amenaza como modo de relación humana por la toma de decisiones incluyente y pública, abierta al juicio y participación de todos, lo que previene y evita el propósito de daño (que es causa del engaño y el daño) y solo trata del bien común. Aquí sigue la argumentación y la propuesta:
1. La violencia es el efecto (de la existencia) del arma, un objeto y organización cuyo propósito es matar y dañar (obviamente solo a los otros), daño que solo se evita con la sumisión permanente o se contrarresta con otra arma que le haga frente y estas se condicionan mutua y dinámicamente a aumentar su potencia destructiva y sus alianzas tanto como pueden para defenderse unas de otras y también limitar y, si eventualmente se tiene la posibilidad, destruir el arma del otro -lo que es hacer la guerra, ya que el arma no nos deja otra alternativa a los humanos que someter o ser sometido.
2. De modo que la paz no es la ausencia eventual de guerra sino el cese del propósito de daño, pues, no nos engañemos, entre los humanos el propósito de daño es ya daño, pero en el pasado, en mundo ignoto y de habitantes desconocidos, era inevitable, ya que una actitud unilateral de indefensión, una posición desarmada equivale a la derrota, pero hoy podemos, debemos y proponemos reiniciar nuestra relación acordando el cese y la renuncia de todos al propósito de daño mediante la toma de decisiones incluyente.
3. Esa unanimidad contra el arma identifica nuestro interés con el de la Humanidad, pues, del mismo modo que una sola arma resulta inevitablemente en todas las armas del mundo y esclaviza a todos los seres humanos por igual, solo el acuerdo de todos resulta en el cese del propósito de daño y en nuestra universal liberación, así como el uso de los recursos, que ahora sirven al arma, para beneficio humano, por ejemplo, el cese del desarrollo y producción de armas y libera en un año 2,5 billones que son un bien común, pues ninguna parte podría lograrlo unilateralmente. Y esa generación de recursos que se produce con ese cese es una minucia comparada con el desarme que, de hecho, es el medio, vía o camino a la comunidad humana.
Este documento va dirigido a las instituciones educativas, tanto universidades como de educación secundaria, para que la suscriban y apoyen compartiéndola, haciéndola pública entre los estudiantes y coordinándose con otros centros homólogos para enviársela a todos los nacionales y a algunos de otros países que hagan allí lo mismo de modo que podamos alcanzar la paz y celebrar la reconciliación de la Humanidad el 16 de noviembre de este año.