INVITATION A LA PAIX

Bonjour, chers amis.

Je suis Manuel Herranz Martín, président de HUM, Human Unity Movement.

NOUS VOUS INVITONS À CÉLÉBRER LA RÉCONCILIATION HUMAINE ET LA PAIX LE 30 JANVIER 2025.

Le plan est de diffuser ce message autant que possible jusqu’au 30 janvier, et ce jour-là, de veiller à sa diffusion universelle pour entamer la paix, la coexistence, et la prise de décisions inclusives, qui signifie le désarmement.

Définition et compréhension de la paix

La paix n’est pas (seulement) l’absence de guerre comme on le suppose habituellement, mais le désarmement, c’est-à-dire le renoncement à la «mauvaise volonté», ou à l’intention et à la projection de destruction de l’autre par l’arme, privant ainsi inévitablement l’autre de sa liberté, c’est-à-dire de sa propre volonté – quelque chose que, logiquement, nous ne pouvons pas accepter. Ainsi, la simple existence de l’arme, présente dans la nature bien avant l’apparition de l’être humain et à laquelle l’homme a dû s’adapter, nous place inévitablement, contre notre volonté, nos intérêts et nos avantages, dans une guerre «absolue».

L’arme et l’État

Cette intention de tuer et de détruire est manifeste dans la lame et la pointe de l’épée, dans l’explosivité de la bombe, etc., mais pas, par exemple, dans un couteau de cuisine ou une pierre qui, bien qu’ils puissent être utilisés comme armes, n’ont pas pour but de nuire et, en conséquence, ne nous alarmons pas. Par contre, l’intention de nuire de l’arme n’est ni abstraite ni accidentelle, comme on le prétend parfois, mais concrète et adaptée aux conditions de l’autre pour lui causer le maximum de dommages possibles.

Le désarmement n’a pas seulement été impossible, mais impensable jusqu’à maintenant, car il ne peut être qu’universel. Un désarmement unilatéral équivaut à la reddition, c’est-à-dire à continuer de servir l’arme, mais celle d’un autre. Bien que de nombreux sages du passé aient compris la condition humaine, l’État n’a pas permis la diffusion de ce savoir, car, en plus de ne pas être réalisable, cela affaiblissait cet État particulier. Cela doit maintenant nous servir d’avertissement et nous rendre agiles et déterminés, avec la conscience que, tout comme nous partageons cette connaissance, nous accomplissons la paix, car son hésitation et son retard peuvent entraîner la dissolution de cette compréhension sous la pression inévitable de la propagande en faveur du réarmement des États, car leur activité est la guerre.

Les humains servons l’arme en s’incorporant de force en elle sous la forme d’une unité armée, un système d’injustice ou d’inégalité totale à travers sa forme pyramidale, la hiérarchie, que ce soit dans l’armée ou dans l’État, qui inclut une répartition inégale des moyens de vivre. Ainsi, une chaîne de commandement est établie, mue par la force de manière mécanique et inhumaine, car c’est la seule façon de contenir les autres armes également organisées de cette manière.

L’arme détermine la réalité

L’arme détermine la réalité, mais pas de la manière d’une figuration idéologique. Au contraire, précisément, les figurations idéologiques s’abstraient de la réalité, en particulier de leur relation avec l’être humain, cachant ainsi l’empathie et l’anticipation qui nous sont communes et qui montrent l’arme comme cause de la guerre absolue. L’État a besoin de se différencier pour accomplir ses génocides sans les remettre en question, et c’est lui qui fait confesser ces figurations dans ses écoles.

L’effet de l’arme est ressenti ou expérimenté réellement et directement par chaque être humain, sinon elle serait inefficace. La perception de la possibilité d’être blessé ou détruit que l’unité armée nous projette nous amène à, en plus de confesser ces figurations, travailler, payer des amendes, des impôts, etc. Le but concret de nuire de l’arme la rend nécessairement «privée» et tout est donc privé et à son service.

La communication de la paix

Il serait contradictoire de prétendre imposer la paix par la force ; la paix ne peut être obtenue que par un accord libre dont les termes sont clairement compris. Et, justement, la démonstration ainsi que la garantie du désarmement résident dans le besoin de transparence totale et de publicité universelle pour être réalisées. Tout comme la mauvaise volonté ou l’intention de nuire (l’arme) doit être dissimulée, la coopération pour le désarmement et le bien commun ne peut se faire que par la transparence et la publicité absolues de ce qui est proposé, car c’est la seule manière de savoir si cela vaut la peine d’être soutenu librement maintenant et plus tard à chaque étape de sa pratique. Et cela se produit déjà avec cette proposition de réconciliation humaine ou d’opposition «absolue» à l’arme.

La réconciliation

Nous n’avons pas besoin d’autre considération pour nous réconcilier que le rejet absolu de l’arme ou de la mauvaise volonté. Il n’est pas nécessaire de déterminer ce que nous devons croire (confesser) ou comment nous devons nous organiser, car le but inévitable de l’arme est d’assurer et d’augmenter ce pouvoir/sujétion, interne et externe, ce qui conduit à s’armer toujours plus jusqu’à l’infini. Nous le savons tous, car tant que l’arme existera, elle sera la plus grande production humaine en tout temps et en tout lieu, y compris dans l’avenir. De la même manière, tout le reste, y compris les ressources humaines, continuera nécessairement à être subordonné à elle, et la «guerre absolue» perdurera, car, en raison de son existence, même pour un «bien» potentiel, il est d’abord nécessaire de faire du «mal», de la manière dont cela se produit avec la propriété privée; seul celui qui possède peut donner, c’est-à-dire qu’il faut d’abord prendre puis partager.

Seule notre humanité nous habilite à la bonne volonté, c’est pourquoi, pour nous réconcilier, nous devons nous libérer, suspendre la «représentation» que l’État assume et revendique de notre volonté, ainsi que les «représentations» (idéologiques, politiques, religieuses) qui justifient et représentent une arme, un État et une alliance particulière face aux autres.

La réalisation de la paix

Le fait que le désarmement ne puisse être que universel implique l’amour universel, c’est-à-dire, par exemple, que nous veillons tous à ce que le personnel militaire maintienne et améliore ses conditions de vie, mais surtout, que nos projets et ressources libérés de l’usage militaire soient destinés à faciliter une vie digne pour tous et à intégrer l’Humanité dans un système de coopération pour le bien commun. Cela résultera logiquement ou naturellement, car, à l’exception des armes, tout est destiné à nous servir, à notre bien-être, à nous améliorer, à nous autonomiser et à augmenter nos capacités, créant et favorisant ainsi l’harmonie et le bon sens entre nous. Et, de même, en vivant ensemble, nous nous persuaderons et nous nous aiderons mutuellement à nous comporter et à utiliser les ressources selon l’intérêt commun. Notre relation est inclusive et impartiale, de sorte que chacun coopère au désarmement et au bien commun selon ses capacités et sa position, et celui qui sait enseigne.

Avec la réconciliation humaine, le garant ultime des droits actuels des personnes transcende les États, c’est l’Humanité, dont l’engagement commun est de fournir la paix, la sécurité et le bien-être pour tous, de manière à ce que personne ne soit blessé, forcé ou privé contre sa volonté de quelque chose qu’il possède maintenant, ce qui serait une violence et donc contraire au désarmement. Mais le désarmement est la même chose que la coopération volontaire pour le bien commun, et sans manifestation de cette bonne volonté, il ne peut y avoir de bien. Nous devons comprendre que la mauvaise volonté est notre point de départ, car elle nous est imposée en raison de l’existence de l’arme, et, en conséquence, la bonne volonté ne peut être indifférence ou inaction; elle doit se manifester, agir, et cette bonne volonté est la coopération pour le désarmement de chacun selon ses capacités. Ainsi, il n’y a pas de bonne volonté si ce message n’est pas partagé.

 

Manuel Herranz Martin                                                21de agosto de 2024

PLAN DE PAZ Y DESARME MUNDIAL

Buenos días, amigos.

Soy Manuel Herranz Martín, presidente de HUM, Human Unity Movement

OS INVITO A CELEBRAR LA RECONCILIACIÓN HUMANA Y A LA PAZ EL 30 DE ENERO DE 2025

El plan es difundir todo lo posible esta propuesta de paz hasta el 30 y según quien la acepta la comparte, y en ese día asegurarnos ya de su difusión universal para, si hay acuerdo, comenzar con el desarme.

Definición y entendimiento de la paz

La paz no es (solo) la ausencia de guerra como se asume habitualmente sino el desarme, esto es, la renuncia a la ‘mala voluntad’, o intención y proyección de destrucción del otro objetivada en el arma de modo que inevitablemente se le priva así de libertad, esto es, de voluntad propia -algo que, lógicamente, nos es imposible de aceptar. De modo que la simple existencia del arma, presente en la naturaleza ya antes de la aparición del ser humano y a la que este tuvo que adaptarse, nos pone irremediablemente y en contra de nuestra voluntad, interés y conveniencia en situación de guerra ‘absoluta’.

El arma y el estado

Esa intención de matar y destruir se manifiesta en la hoja y la punta de la espada, en la explosividad de la bomba, etc., pero no, por ejemplo, en un cuchillo de cocina o una piedra que, aunque podrían usarse como armas, no tienen propósito de daño y, en consecuencia, no nos alarman, mientras que, por el contrario, la intención de daño del arma no es abstracta o casual como se pretende sino concreta y adaptada a las condiciones del otro para poder causarle el máximo daño posible.

El desarme no solo ha sido imposible sino impensable hasta ahora, ya que solo puede ser universal, pues un desarme unilateral equivale a la rendición, es decir, a seguir sirviendo al arma, solo que a otra. Y aunque muchos sabios del pasado entendieron la condición humana, el estado no ha permitido la publicidad de ese conocimiento ya que, además de no ser viable, debilitaba a ese estado en particular. Esto debe servirnos de advertencia ahora y hacernos ágiles y decididos, con la conciencia de que, así como compartimos este conocimiento llevamos a cabo la paz, pues la duda y la demora puede resultar en la disolución de este entendimiento por la ineludible propaganda hacia el rearme de los estados, pues su actividad es la guerra.

Los humanos servimos al arma incorporándonos forzosamente a ella en su forma de unidad armada, un sistema de injusticia o desigualdad total mediante su forma piramidal, la jerarquía, tanto en el ejército como en el estado, que incluye una asignación desigual de medios para vivir, de modo que se establece cadena de mando movida al modo mecánico por la fuerza, pues esta es la forma de contener a las otras armas también organizadas implacablemente del ese modo.

El arma determina la realidad, pero no al modo supuesto de una figuración ideológica, al contrario, precisamente las figuraciones ideológicas se abstraen de la realidad y así hacen con el arma, desligándola de su relación con el ser humano, ocultándonos así la empatía y anticipación que nos es común y que nos mostraría el arma como causa de la guerra absoluta. Pues el estado necesita diferenciarse para acometer genocidio sin cuestionarse y es el que hace confesar esas figuraciones en sus escuelas, que no tienen base en el sentido común. El efecto del arma lo siente o experimenta real y directamente cada ser humano, pues de otro modo sería ineficaz; la percepción de la posibilidad de ser dañados y destruidos que el arma nos proyecta nos lleva a, además de confesar esas figuraciones, trabajar, pagar multas, impuestos, etc. Y ese propósito que es daño real en el ser humano del arma la hace necesariamente ‘privada’ y todo es privado por tanto está a su servicio.

La comunicación de la paz

Sería contradictorio pretender imponer la paz por fuerza, la paz solo puede lograrse mediante el libre acuerdo cuyos términos son entendidos claramente. Y, precisamente, tanto la demonstración como la garantía del desarme es que necesita total transparencia y publicidad universal para ser llevado a cabo. Así como la mala voluntad o propósito de daño -el arma, necesita ser ocultada, la cooperación para el desarme y el bien común solo puede darse mediante la transparencia y publicidad absoluta de lo que se propone, ya que solo así se sabe si conviene libremente apoyarlo ahora y en cada paso de su práctica. Y esto ocurre ya con esta propuesta de Reconciliación humana u oposición ‘absoluta al arma.

Tal como entendemos que solo podemos liberarnos o desarmarnos porque hoy día podemos hacerlo juntos universalmente, tenemos que compartir esta propuesta sin excusa de que otros no tendrán buena voluntad y querrán mantener su poder o privilegios, pues también los que subyugan a otros sirven así al arma, incluso si son inconscientes o se engañan no pueden negar la evidencia ni renunciar a su propia voluntad, que tanto es dejar de servir al arma como de verse obligados a forzar a otros.

La reconciliación

No necesitamos otra consideración para reconciliarnos que el rechazo absoluto al arma o la mala voluntad. No nos es necesario determinar qué creer (confesar) ni cómo organizarnos, pues el propósito ineludible del arma es asegurar y aumentar ese poder/subyugación interna y externamente, lo que es armarse más hasta el infinito y todos lo sabemos, pues, mientras exista el arma, esta es la máxima producción humana en todo tiempo y lugar, incluido el futuro y, de la misma manera, todo lo demás incluso sus recursos humanos seguirán necesariamente subordinados a ella y se mantendrá la ‘guerra absoluta’, pues, dada su existencia, incluso para un posible ‘bien’ es necesario primero el ‘mal’, del modo como sucede con la propiedad privada; que solo quien tiene puede dar, es decir, primero es quitar y luego compartir.

Solo nuestra humanidad, que no puede sernos ajena, nos habilita la buena voluntad, por eso, para reconciliarnos tenemos que liberarnos, poner en suspenso la ‘representación’ que el estado asume y se arroga de nuestra voluntad, así como las ‘representaciones’ (ideológicas, políticas, religiosas) que justifican y representan un arma (unidad armada), estado y alianza particular frente a otras.

La realización de la paz

Que el desarme solo pueda ser universal implica el amor universal, es decir, primero por ejemplo, que todos cuidamos que el personal militar mantenga y mejore sus condiciones de vida, pero sobre todo, que nuestros proyectos y recursos que se liberan del uso militar se destinan a facilitar una vida digna para todos y a integrar a la Humanidad en un sistema de cooperación para el bien común, lo que resultará una consecuencia lógica o natural, pues, excepto las armas, todo está destinado a servirnos, a nuestro bienestar, a mejorarnos, a empoderarnos y aumentar nuestras capacidades, creando y fomentando así la armonía y el sentido común entre nosotros. E, igualmente, conviviendo, nos persuadiremos y ayudaremos unos a otros a comportarnos y a usar los recursos según el interés común. Nuestra relación es inclusiva e imparcial, de modo que cada uno coopera en el desarme y por el bien común según sus capacidades y posición, y el que sabe enseña.

Con la reconciliación humana el garante último de los derechos actuales de las personas trasciende a los estados, es la Humanidad, cuyo compromiso común es proporcionar paz, seguridad y bienestar para todos, de modo que nadie sea dañado, forzado o privado contra su voluntad de algo que ahora posea, lo que sería violentarlo y, por tanto, contrario al desarme. Pero el desarme es lo mismo que la cooperación voluntaria por el bien común y sin la manifestación de esa buena voluntad no puede haber bien alguno. Tenemos que entender que la mala voluntad es nuestro punto de partida, ya que esta se nos impone debido a la existencia del arma y, en consecuencia, la buena voluntad no puede ser indiferencia o inacción; tiene que manifestarse, actuar, y esa buena voluntad es la cooperación por el desarme de cada uno según sus capacidades y así, no hay buena voluntad si este mensaje no se comparte.

Manuel Herranz Martin                                                21de agosto de 2024

LLAMADA A LA RECONCILIACIÓN HUMANA

Es importante usar nuestra inteligencia para entender y reconocer lo que significa nuestra humanidad que no permite una ‘paz parcial o limitada’ y por eso se dice que la guerra es ‘absoluta’.

En el pasado los grupos humanos estaban aislados e incomunicados y la toma de decisiones excluyente que conlleva la confrontación era inevitable, por ello los humanos se han organizado en unidades armadas o estados, pero en nuestro tiempo podemos reconciliarnos (y perdonarnos, ya que no estaba en nuestras manos no dañarnos) y establecer la paz o toma de decisiones incluyente, que evita y previene el propósito de daño e implica la cooperación por el bien común.

Sin embargo, la primera decisión incluyente tiene que ser el desarme, la renuncia a la intención o propósito de destruir al otro, que es el objeto del arma, pues sin esa renuncia, tal como sucede con la ONU, no puede darse decisión inclusiva alguna, ya que el propósito de destrucción (del otro) condiciona todo lo demás, tanto que la cooperación no solo no puede ser inclusiva sino que se da solo realmente contra terceros.

¿Por qué es esto así? Por nuestra humanidad, que es única y es de todos, que nos pone en lugar del otro y proyecta y anticipa, y por eso nos sometemos al que nos amenaza, de modo que la consecuencia inevitable de querer dañar, aunque sea a uno solo en el mundo, equivale a dañar a todos, pues esto fuerza a los demás a tomar partido, y donde se usa la fuerza se priva de libertad.

Esto ya lo vieron los sabios pacifistas que se llamaban cosmopolitas, pues entendían que la paz no era otra cosa que la ley natural, la ley del Cosmos y Mozi, la versión cosmopolita oriental, cuya doctrina es el Amor Universal, afirma que este amor es la Voluntad del Cielo que ha dispuesto las cosas de tal modo que no podamos unos tener paz y otros no como consecuencia de esa capacidad virtual humana. Asimismo, para Mòzǐ el amor no es idealista, una voluntad que se enfrenta al mundo, sino la consecuencia lógica de la universalidad

Dice Mozi 小取 – Ilustración Menor -7

愛人,待周愛人而後為愛人。不愛人,不待周不愛人;不周愛,因為不愛人矣。乘馬,不待周乘馬然後為乘馬也;有乘於馬,因為乘馬矣。逮至不乘馬,待周不乘馬而後不乘馬。此一周而一不周者也。

Amar a la gente requiere amar a toda la gente para que cuente como amar a la gente; pero no amar a la gente no requiere no amar a nadie para que cuente como no amar a la gente.

Montar a caballo no requiere montar a todos los caballos para que cuente como montar a caballo; basta haber montado un caballo para que implique montar caballos.

Por contraste, no montar a caballo requiere no montar ningún caballo para que cuente como no montar a caballo.

Esto es “uno requiere todos y otro no todos”.

Para reconocer esa condición de nuestra humanidad que es evidente convocamos un día de la Reconciliación el 30 de enero de 2025. Hasta ese día, compartimos, difundimos y apoyamos tanto como podamos este mensaje y la convocatoria y el día 30 mismo nos aseguramos de que esta comunicación llega efectivamente a toda la Humanidad con lo que comenzamos el desarme poniendo todas las armas bajo un mando humano, pues, al no ser más que solo unas por otras, suspenden su actividad y desarrollo y el desarme no solo es ya posible sino conveniente.

Ni siquiera ese mando entonces puede generar iniciativa de daño, pues sería la absurda y contradictoria situación de uno que a la vez se ataca y se defiende a sí mismo. Más aún, el mando no está en lo más alto de la jerarquía pues solo un arma constituye una jerarquía, pero aquí el mando es sobre todas ellas que no componen jerarquía. Todo esto nos lo proyecta igualmente la inteligencia de esa humanidad que tenemos que reconocer y aceptar.

Qué ha cambiado desde la Guerra Fría: La Gran Muralla y el Caballo de Troya.

He ido a Berlin 35 años después de haber estudiado en la Universidad Libre de Berlin (FUB). Había sido activista por la paz o desarme en la UAM de Madrid impactado por la posible guerra nuclear a principios de los 80, punto álgido de la Guerra Fría, y cuando llegué a Berlín en un viaje de dos semanas me quedé impresionado por el entusiasmo y las actividades a favor de la paz y desarme y decidí quedarme confiando que mi esfuerzo tuviera más fruto (y a veces pienso que lo conseguí). Acabo de visitar la FUB y sus estudiantes se preocupan ahora de que los alquileres son altos, piden servicios psicológicos para todos y lo único con tono político es una convocatoria para manifestarse contra la derecha (“gegen rechts”).

Más tarde, he visitado la Universidad Humboldt, en su mástil la bandera ucraniana y en su gran vestíbulo un ‘bosque’ de columnas cada una bajo el título: CERTIFICADO SIN USO y la foto de la cara de un fallecido, sus estudios y los detalles de su cruel muerte a manos los de los rusos en la “invasión no provocada de la Rusia del criminal Putin”.

Si Putin es un autócrata y los jóvenes rusos también están muriendo debido a su cruel y maligno despotismo, esos jóvenes rusos deberían ser recordados en ese bosque del vestíbulo de la Humboldt. Esto no es un juego de palabras, el despotismo y la guerra es lo mismo, son los dos lados de la misma moneda, pues el despotismo es la forma del arma entre los humanos; la jerarquía o relación de total desigualdad que solo admite la relación violenta e inhumana, y que fuerza a matar y dañar, ¿por qué entonces pretender que solo Rusia es despótica y el Oeste, y cada uno de los países occidentales, no lo es? ¿Acaso no es una unidad armada cada estado?

En mi opinión, lo que ha cambiado tras la Guerra Fría hasta ahora en la FUB (seguramente en la Humboldt poco o nada) es que entonces la FUB tenía por objeto, como todo en Berlín Occidental, provocar al bloque del Este con su “libertad” para iniciativas que no surgían del estado como en el bloque del Este, tales como la visualización del feminismo, homosexualidad, el deterioro del medio ambiente, la paz, el desarme, etc., o, sobre todo, con su riqueza (precisamente he oído que cierra KDW – Kaufhaus des Westen – similar al de Harrods en Londres, creado para despertar la envidia consumista en el Este) así como, en general, la profusión de productos de consumo que hacían de Berlín un sueño para los ‘ossies’.

Este es el modo como la democracia liberal, introduce su caballo de Troya y vence globalizándose con la ventaja de poder imprimir dólares y poder comprar cualquier cosa de interés, incluidos los medios de comunicación y formación política, frente a la cerrazón y rechazo de los otros países cada vez más autoritarios o iliberales, violadores de derechos humanos, etc., tal como sucedió en China, donde Mao cerró el paso a las potencias que habían establecido allí sus intereses en la época del Kuomintang, Partido Nacionalista, ahora en Taiwan, al que Mao acusaba de no ser suficientemente nacionalista, y así sucedió también en Rusia, donde la crisis del año 98 supuso un punto de inflexión en el paso de la apertura democrática liberal de Yeltsin al mayor control estatal con Putin hasta su autoritarismo/nacionalismo actual.

Ciertamente que los líderes occidentales creen y fuerzan a creer y confesar mediante elecciones (plebiscito) que esa es la forma real de ‘progreso’, ya que no hay otra alternativa -la paz es algo ‘imaginario’, ‘falso’, y solo nos cabe el ‘progreso material (y el progreso de los derechos en la historia) aunque se mantiene exactamente la misma desigualdad y abuso o más que desde que el estado comenzó a existir. ¡Pero, un momento¡ Resulta que ese mismo era el diseño estratégico, y la misma buena intención del comunismo; utilizar igualmente el caballo de Troya o quinta columna de la clase obrera en todos los países para establecer un sistema unificado del mundo momento en el que se logra la máxima paz o, en cualquier caso, máximo dominio del hegemón, entonces la Unión Soviética (y es a eso a los que se oponen Hitler, quien señala bien que ese fue el motivo del armisticio alemán en la Primera Guerra Mundial, y Mussolini, un ex socialista. Y resulta que ese mismo era el proyecto de Napoleón, conquistar el mundo para extender la democracia, cuyos seducidos por el en España se les llamaba «afrancesados», o la monarquía hispánica, que iba con sus misioneros para esas gestiones, o del sistema confuciano chino, del Islam, es el proyecto de cada imperio, la conquista o dominio total basado más que en la conquista en la penetración ideológica, el engaño del caballo de Troya o tal como en la figura del yin y el yang, la parte blanca tiene un punto negro y la negra un punto blanco, y utilizar esos puntos de apoyo en la parte contraria es como se logra la conquista.

Recuerdo que ya el día mismo que se lanzó HUM en la Casa del Reloj de Madrid de Arganzuela el 3 de febrero de 2018, una señora, extraordinariamente inteligente, sensible discreta (la madre de Azucena) me preguntó que cual era la diferencia entre el proyecto de HUM y el de Alejandro Magno, pues Alejandro propagaba este propósito de unidad humana como medio de la paz y tomaba sus decisiones políticas y aun personales de acuerdo con él y las proclamaba a bombo y platillo. Pues bien, la respuesta es fácil, la diferencia es que si la ideología está al servicio del arma, no se puede producir un momento en el que prescinda de ella, incluyo si el mundo entero queda un día bajo un único mando, como casi lo ha sido EEUU recientemente, o igualmente se engaña China con su visión, basada en el Confucianismo, de un mando unificado y benevolente sobre el mundo que impone o facilita la paz jerárquica, pues un arma son todas las armas opuestas posibles y un arma es un arma incorporada e implica la desigualdad jerarquía o injusticia absoluta que impide la humanidad y el sentido común y solo permite la relación violenta. ¿Cómo pueden las armas traer paz, si es lo mismo el arma que la guerra?

Por eso, amigos, insisto una vez más que la paz es nuestra responsabilidad como personas, como seres humanos, y no como miembros del arma, de la jerarquía, sea en la posición o rango que sea y no es algo difícil, pues se trata, no ya de de revelar o explicar algo claro, sino solo de llamar la atención sobre el arma y pedir o incluso exigir a los demás seriedad en esto y no ocultarse tras molinos de viento, ideologías, humo, pues está a la vista y es obvio para cualquier sentido común que tenemos que unirnos contra ella para desarmarnos, para vivir de acuerdo con nuestra humanidad, con nuestro sentido común que es la forma que tenemos de entendernos -algo que ciertamente en el pasado era inviable y, por tanto, también, realmente más confuso, pero que ahora tenemos a nuestro alcance convocando a la reconciliación de la Humanidad el 30 de enero de 2025.

DE LA GUERRA A LA PAZ

EL ARTE DE LA GUERRA DE SUNZI Y EL ARTE DE LA PAZ HOY

Comparto la Presentación de un curso que voy a impartir online en CEDEGYS

(Ni que decir tiene que si os animáis o conocéis a quien le puede interesar, sois bienvenidos)

El Arte de la Guerra

El Arte de la Guerra de Sunzi comienza así:“兵者,国之大事,死生之地,存亡之道,不可不察也。””La guerra es el gran asunto del estado, su vida o su muerte, el camino a su salvación o su ruina, por lo que es su prioridad”. Y añade: 兵者,诡道也 “El arte de la guerra es el engaño”, pero, en contra de lo que podría pensarse, no se engaña solo al enemigo, sino principalmente al pueblo, al que se sitúa en la precariedad como medio para su manipulación o gestión y del que se necesita y busca además que ponga voluntariamente su vida en manos del líder. Al compararlo con La Ilíada, de la misma época, igualmente dedicado a la guerra y con el mismo carácter fundante para la civilización occidental vemos que generalmente el engaño en Occidente se basa la figuración, mientras que en Oriente en la ocultación. Pero, por ello, sabemos que la paz ha de buscarse en la verdad, en el desengaño y el desvelamiento.

El Arte de la Paz

La paz no es (solo) la ausencia de guerra sino el desarme, pues el mal -el propósito de daño y la injusticia- es el arma, que no es causa de la guerra sino, como dice Cervantes “lo mismo que la guerra”.

El arma es la injusticia, porque la necesaria pertenencia humana a un arma (unidad armada o estado) se hace mediante incorporación en un sistema de total desigualdad o jerarquía, que se generaliza y agudiza mutua y universalmente, pues estamos forzados todos a organizarnos de esa forma, so pena de ser absorbidos o sometidos en la parte más baja de otra pirámide.

La existencia del arma es la guerra absoluta, ya que un arma equivale a todas las armas posibles y a las más dañinas posibles, y cuando la amenaza entre ellas no es decisiva para establecer el sometimiento o rango se sigue la guerra (caliente) –“el intento o acción de desarmar al enemigo”, según dice Clausewitz.

El arma es por sí misma (o unas armas por otras), no depende del ser humano, al que no le cabe más que incorporarse o someterse a (la finalidad del arma) el mal y matar (o morir sobre todo como desertor) de modo que la unidad armada se extiende y consolida principalmente en función de la geografía que pone límites entre ellas.

La condición de la paz o desarme es la participación de todos y cada uno de los humanos, universalidad de la que se carecía en el pasado en un mundo ignoto e incomunicado y, en consecuencia, el entendimiento de la paz como relativa a la humanidad ha sido perseguido, ocultado y tergiversado, pues solo debilitaba al estado, pero hoy es ya posible en nuestro mundo globalizado. Aunque, ciertamente, el estado (la violencia) no puede ser agente de la paz, pero tampoco se opone, pues solo tiene sensibilidad mecánica, relativa a la fuerza.

En ausencia de violencia, la gestión tanto del desarme -que es la unión o universalización de la humanidad- así como nuestro ‘gobierno’, consiste y tiene su garantía en la publicidad de las intenciones o propósitos de lo que afecta/concierne a los demás (comenzando con este), pues, salvo las armas, todo es para servirnos y acorde con el sentido común. Dado que un arma son todas las armas y para el desarme es necesario el acuerdo y la participación de todos los seres humanos sin excepción, así se genera indivisible el bien común, tanto de lo que de inmediato ahorramos en armas como en el resultado del desarme, que es la Comunidad Humana.

FIESTA DE RECONCILIACION

INVITACIÓN A LA FIESTA DE RECONCILIACIÓN DE LA HUMANIDAD EL 30 DE ENERO DE 2025

Por supuesto que esta invitación es para todas las personas del mundo, pero os propongo a los que os llega este documento que la convoquéis y preparéis como voluntarios, pues no podemos esperar del estado, la unidad armada, ni de las entidades que dependen de él que promuevan esta iniciativa de humanidad y de paz que se manifiesta con la bandera blanca y cuyo propósito es el desarme y la unidad y la concordia humana, pues esto es lo que la reconciliación requiere. Hasta el verano comunicamos la convocatoria y tras el verano preparamos la actividad.

Antes quiero presentarme como promotor de esta iniciativa: mi nombre es Manuel Herranz, presidente de HUM, Human Unity Movement (www.human-unity.org) y esta es una iniciativa y quiero daros alguna información sobre mí mismo que podéis comprobar y también me pongo a vuestra disposición para cualquier cuestión.

En 1987 fui contactado por agentes soviéticos en Berlín que estaban dispuestos a apoyarme, ya que trabajaba activamente por la paz y el desarme al tiempo que escribía mi tesis dostoral sobre Humanidad y Desarme en la FU Berlín. No acepté su propuesta, pues entendí que apoyar la paz en el Oeste resultaba en la ventaja del Este.

Había estudiado filosofía en la UAM, de Madrid, pero a principios de los 80 en el punto álgido de la Guerra Fría lo que más impresionaba era la posibilidad de una guerra nuclear por lo que centré mis estudios en la paz. En 1986, cuando ya trabajaba en mi tesis doctoral, llegué a Berlín Occidental y decidí quedarme y continuar mi investigación y actividades allí. Aparte de filosofía, comencé a estudiar Relaciones Internacionales, chino, árabe y ruso, pues decidí que estos eran las principales lenguas del Este, del Sur y del Norte y tras abandonar Berlín en 1989 viajé y estudié la visión de paz de las principales culturas del mundo.

Ahora que de nuevo tenemos delante el abismo nuclear, considerad un punto de vista muy general: la visión de paz en el Oeste y en el Medio Oriente es que Dios, padre o líder, nos hace a todos los humanos hermanos y hermanas, y la principal visión de paz en China es el trabajo de Mozi, el principal rival de Confucio en el siglo V. AC. La enseñanza de Mozi es llamada La Política del Amor Universal, y cito aquí para dar una idea de su principio: “Quienquiera que critica a otros tiene que tener una alternativa. Criticar sin sugerir como mejorar es como intentar detener una inundación con agua o intentar apagar un fuego con fuego. Será inútil. Por eso Mòzǐ dijo: La parcialidad debe ser sustituida por la universalidad.” Mòzǐ nos muestra como todas las calamidades del mundo surgen de la parcialidad así como el beneficio humano y la imparcialidad han de ser producto de la universalidad, debido a nuestra inteligencia o sentido común que nos lleva a ponernos en lugar del otro y no podemos conformarnos con menos de ser iguales. El problema para Mòzǐ, así como para los cosmopolitas occidentales -la principal escuela de pensamiento tanto en el Imperio Romano como en el imperio helénico que iban desde España hasta India desde el siglo III AC hasta el siglo III DC hasta la difusión del monoteísmo- era como superar la parcialidad de las unidades armadas o estados en un mundo desconocido. Pero hoy que el mundo está a nuestro alcance e interconectado, la universalidad y con ella la paz es posible.

El día 30 de enero de 2025 todos los humanos estamos llamados a manifestar nuestra voluntad de convivencia en paz y a crear un órgano de la Humanidad para el desarme y la toma de decisiones incluyente que prevenga el propósito de daño mediante la cooperación por el bien común y tratando a los demás como quisiéramos ser tratados.

La paz no es la ausencia de guerra, la PAZ es el DESARME

El arma, dada en la naturaleza anterior al ser humano, es el objeto (o intención) de daño, que se nos manifiesta -en la mano del otro, en el filo y la punta de la espada, en la explosividad de la bomba, etc., lo que no es el caso por ejemplo de un cuchillo de cocina o una piedra, que no tienen esa mala intención y no nos alarman. Esa mala intención resulta en la ‘guerra absoluta’, pues las unidades armadas buscan por todos los medios aumentar su capacidad de destrucción del otro y limitársela a él. Se imponen o someten unas a las otras mediante la amenaza de destrucción y cuando la amenaza no es suficiente se hace irremediable la guerra, “la acción o intento de desarmar al enemigo”, por eso, la paz no es (solo) la posible ausencia eventual de guerra sino el desarme, que es al tiempo la cooperación por el bien común.

La bandera blanca es el medio de la reconciliación

Pues el arma, que somete a todo a su servicio y no admite otra opción que ser integrada o enemiga, nos fuerza a todos los humanos a incorporarnos en unidades armadas y estados organizados jerárquicamente, modo con que se anula nuestra voluntad personal y humanidad; por eso, para liberarnos necesitamos la bandera blanca cuyo sentido y efecto es el cese universal de la actividad del arma, tanto dañando como amenazando. Si no somos capaces de manifestar nuestra voluntad humana personal mediante la bandera blanca y somos representados por la unidad armada o el estado o tras “ideas” de nuestro estado de guerra previo, será manifestación de nuestro miedo a la amenaza de los otros y proyección de la nuestra.

El desarme es la reconciliación y la unidad humana

El desarme unilateral -tal como hubiera sido necesariamente en el pasado, no es desarme sino, al igual que la derrota, transferencia de la sumisión y servicio de un arma a otra, pues el desarme requiere la universalidad, algo que solo se da en nuestro tiempo y por eso hacemos esta llamada a la reconciliación universal humana que lo es también del perdón, pues hasta ahora cada persona estaba al servicio del arma sin otra opción, por lo que no podemos responsabilizar a nadie.

No hay otro problema entre nosotros los humanos que el arma cuyo propósito de daño debe ser ocultado, pretextado, mientras que la reconciliación humana es la toma de decisiones incluyente mediante la publicidad de cualquier propósito (de lo que pueda afectar a los otros) que evita y previene el propósito de daño y trata solo el bien común.

Si excluimos el arma todo es para servirnos y así su propósito también implica cuándo, cómo, por quién, etc. debe ser (un recurso) utilizado de la mejor manera. Por lo tanto, la soberanía humana no fuerza ni impone nada, su órgano no es más que un nexo de información primero para el desarme y en general para la cooperación, mientras que la unidad o soberanía humana fomenta la concordia como bien común, algo que ahora nos impide el arma, que nos afrenta.

Obviamente, el desarme pacífico no puede ser impuesto, forzado; ha de ser libre, voluntario, pero cada parte se desarma si todos los demás se desarman también, pues la causa del arma es el (otra) arma. El desarme no es posible para uno u otro, para una o para otra parte, necesita de la cooperación de todos, por lo que el ahorro en armas es un bien común, lo que nos motiva (mutuamente) a tratar al otro como queremos ser tratados, y su resultado es la comunidad humana

El alto el fuego y el cese del desarrollo del arma

Aunque la soberanía de la Humanidad requiere el acuerdo unánime de todos los seres humanos y mientras tanto la paz es acatar la soberanía de nuestro estado, pues la acción unilateral en su seno generaría su reacción violenta, la convocatoria a la reconciliación y la manifestación al mundo de la bandera blanca puede servir para que cese el desarrollo armamentístico y para el alto el fuego (en Ucrania, Gaza, muchos lugares de África, allí donde haya conflicto armado), pues ahora sabemos que la paz es el desarme y la soberanía de la Humanidad, y el apoyo y la previsión de esa soberanía ya cercana facilita el acuerdo para la suspensión de toda hostilidad de inmediato sin otra condición previa.

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INTRODUCCIÓN A LA PAZ

Suenan tambores de guerra total en Europa mientras vemos en TV el terrible daño que causa en Ucrania y Gaza (quiero decir que en otros lugares sin relevancia estratégica la TV no nos lo muestra) y, aun así, ni conseguimos el alto el fuego allí ni hallamos manera para que no nos ocurra pronto a nosotros, y quizás a todos, lo mismo o aún peor.

Si preguntamos por la causa de la guerra y tomamos como respuesta lo que se dice en las TVs, o en los periódicos o en las redes sociales, la respuesta abrumadora es un mal comportamiento del otro, el enemigo, aunque también se dice a veces que las guerras las promueve el “complejo militar industrial”, el capitalismo o las élites para lucrarse de ellas, pero la verdad es que la guerra, sobre todo si no es subrogada como habitualmente, y es destrucción mutua (y total) como parece sería el caso actual en ciernes, no puede ser beneficiosa para nadie y, por tanto, no es querida por nadie. Y, sin embargo, no parece evitable.

La guerra es la simple relación del arma consigo misma, es decir, la relación de las unidades armadas cuyo desarrollo, progreso o mejora es una mayor capacidad de destrucción del otro, que es el modo como se imponen o someten unas a otras, de modo que sus intereses son expresamente contrarios, pues cada uno busca armarse tanto como puede y desarmar al otro. Y así la guerra es “absoluta” -es lo que ocurre todo el tiempo, como dice Clausewitz, quien define a las operaciones militares concretas como “el intento o acción de desarmar al enemigo”, punto al que se llega irremediablemente si ninguno es capaz de imponerse al otro mediante la simple amenaza que le aporta la superioridad de los medios de destrucción. Tal cual es el temible caso ahora que la supremacía de EEUU está en entredicho, algo, por cierto, bien conocido como “trampa de Tucídides”, por ser esta situación la que según nos cuenta este llevó a Esparta y Atenas a la guerra del Peloponeso, que duró 50 terribles años, sin propiamente otro asunto en particular entre ellos que el contencioso por hegemonía.

El arma da lugar entre los humanos a la unidad armada (el ejército y el estado), que diferencia a las personas entre aquellos subyugados a su sistema jerárquico, articulado así con el fin explícito y preciso de anular la libertad, voluntad y humanidad no solo a sus miembros sino al resto del mundo a los que tal organización irremediablemente absorbería o sometería -salvo que estén organizados de la misma manera para poder resistirlo (y así incluso absorber o someter al primero también). La cuestión es: toda arma es inmediatamente y sin más incorporada o enemiga.

Ese propósito manifiesto de esclavización universal no puede hacerse público -y más que se hace sin querer y como una cadena de reacciones ineludible que experimenta el político, por lo que se usa el lenguaje representativo y figurativo que necesariamente acompaña a la unidad armada, que nos hace también dependientes de quien lo figura y lo consagra, por el que “confesamos” la “cesión” “voluntaria” de nuestra voluntad a nuestros mandos o representantes que, ciertamente, pueden cambiar mediante votación democrática cada algunos años, pero las personas son aquí irrelevantes, pues unos u otros ocuparán los mismos puestos y funciones de la máquina jerárquica.

Lo que importa final y realmente aquí es que todos, tirios y troyanos, la OTAN o Rusia-China, mantenemos públicamente el absurdo de que la paz es solo la ausencia de guerra ocultándonos de una u otra manera que la guerra es nuestra sumisión al arma, a ese sistema de esclavitud universal que maquinalmente nos fuerza o se nos impone a todos mediante el daño o amenaza de daño anulando nuestra humanidad y nuestra voluntad, de modo que, privados de ella, ni siquiera podemos conformarnos, y dejar de hacer la guerra; más que una contradicción, una locura y una pesadilla.

Sin embargo, todos sabemos, y también tenemos registros en todas las diversas culturas humanas pasadas y presentes del conocimiento de la paz o convivencia humana como tratar a los otros como quisiéramos ser tratados nosotros mismos -y no nos conformamos con menos- y esto implica la inclusividad en la toma de decisiones que se garantiza mediante la publicidad de los propósitos o intenciones de aquello que puede afectar a los demás, con lo que, lógicamente, el propósito de daño se evita y nos lleva a todos al desarme y a la prevención del arma mediante la cooperación con el acuerdo de todos.

Algo que hoy día está felizmente a nuestro alcance, pero para lograrlo tenemos que liberar primero nuestra humanidad convocándola con nuestra bandera, la bandera blanca, cuyo uso o efecto es detener la actividad de y por el arma. Esto es difícil como ya comprendes, pues la bandera blanca se considera (históricamente) rendición, algo que depende de la decisión de la autoridad, y por lo tanto está prohibido su uso -y mal vista además, pero hoy día puede ser una representación personal en las redes sociales sin referencia ya al estado de cada uno y así es que tiene o busca un alcance universal de llamada a todos al desarme sin perjuicio para nadie.

PROPUESTA DE PAZ Y DE COOPERACIÓN A LAS INSTITUCIONES EDUCATIVAS

La paz, si es verdadera, obviamente no puede ser forzada o impuesta, tiene que establecerse como un acuerdo basado en una propuesta pública, por lo que ya es novedad de la presente dirigirse a las personas y no (solo) a los estados, de lo que se sigue también que aceptar el acuerdo de paz es compartir la propuesta, pues sería contradictorio apoyarla y negarle la publicidad, que es el medio para su realización. Y el canal idóneo son las instituciones educativas por su carácter reflexivo y universal.
Esta propuesta de paz es al tiempo una convocatoria o invitación a un Día de Fiesta o Reconciliación de la Humanidad el 16 de noviembre de 2024 en el que se manifieste unánimemente la voluntad humana de paz y se convoque un Congreso de la Humanidad en 2025 que sustituye la toma de decisiones unilateral y la amenaza como modo de relación humana por la toma de decisiones incluyente y pública, abierta al juicio y participación de todos, lo que previene y evita el propósito de daño (que es causa del engaño y el daño) y solo trata del bien común. Aquí sigue la argumentación y la propuesta:
1. La violencia es el efecto (de la existencia) del arma, un objeto y organización cuyo propósito es matar y dañar (obviamente solo a los otros), daño que solo se evita con la sumisión permanente o se contrarresta con otra arma que le haga frente y estas se condicionan mutua y dinámicamente a aumentar su potencia destructiva y sus alianzas tanto como pueden para defenderse unas de otras y también limitar y, si eventualmente se tiene la posibilidad, destruir el arma del otro -lo que es hacer la guerra, ya que el arma no nos deja otra alternativa a los humanos que someter o ser sometido.
2. De modo que la paz no es la ausencia eventual de guerra sino el cese del propósito de daño, pues, no nos engañemos, entre los humanos el propósito de daño es ya daño, pero en el pasado, en mundo ignoto y de habitantes desconocidos, era inevitable, ya que una actitud unilateral de indefensión, una posición desarmada equivale a la derrota, pero hoy podemos, debemos y proponemos reiniciar nuestra relación acordando el cese y la renuncia de todos al propósito de daño mediante la toma de decisiones incluyente.
3. Esa unanimidad contra el arma identifica nuestro interés con el de la Humanidad, pues, del mismo modo que una sola arma resulta inevitablemente en todas las armas del mundo y esclaviza a todos los seres humanos por igual, solo el acuerdo de todos resulta en el cese del propósito de daño y en nuestra universal liberación, así como el uso de los recursos, que ahora sirven al arma, para beneficio humano, por ejemplo, el cese del desarrollo y producción de armas y libera en un año 2,5 billones que son un bien común, pues ninguna parte podría lograrlo unilateralmente. Y esa generación de recursos que se produce con ese cese es una minucia comparada con el desarme que, de hecho, es el medio, vía o camino a la comunidad humana.
Este documento va dirigido a las instituciones educativas, tanto universidades como de educación secundaria, para que la suscriban y apoyen compartiéndola, haciéndola pública entre los estudiantes y coordinándose con otros centros homólogos para enviársela a todos los nacionales y a algunos de otros países que hagan allí lo mismo de modo que podamos alcanzar la paz y celebrar la reconciliación de la Humanidad el 16 de noviembre de este año.

MÁS LUZ

Estás invitado a un Día o Fiesta de Reconciliación de la Humanidad el 16 de noviembre de 2024, para la que solicitamos tu cooperación en la forma que puedas, por lo que si se te ocurre algo, ponte en contacto con nosotros.

Será el día de la consumación de los tiempos, pues el origen o fuente del bien común es la universalidad, la inclusividad (en chino 兼 jian), mientras que la parcialidad o unilateralidad (la exclusión, en chino 别 bie) es el origen del mal, así lo ven y dicen claramente y por igual los cosmopolitas orientales y occidentales, aun sin comunicación alguna entre ellos. Así lo expresa, por ejemplo, Mòzǐ:
“Supongamos que un hombre entra en el huerto de otro y le roba los melocotones y las ciruelas. Al oírlo el público lo condenará; Si lo cogen, lo castigarán. ¿Por qué? Porque daña a otros para beneficiarse él mismo. Pero cuando se trata del gran ataque de los Estados, no saben que deben condenarlo. Al contrario, lo aplauden, calificándolo de justo. ¿Se puede decir que esto es saber la diferencia entre justo e injusto? Si hubiera un hombre que al ver algo un poco oscuro dijera que es negro, pero al ver mucho dijera que es blanco; entonces deberíamos pensar que no sabe distinguir entre el blanco y el negro. (Libro V – Contra la Guerra Ofensiva)

Pero ese conocimiento no fue suficiente para la paz o inclusividad, que se intentó establecer mediante religiones o ideologías que necesitan líderes o guías y tienen que ser enseñadas e impuestas, pues no se basan en un sentido o conocimiento natural como el expuesto por los cosmopolitas sino que se confiesan y son así realmente un obstáculo para la paz, tal como vio Sócrates, y por ello sostiene Kant también que la prueba de la búsqueda del bien común es la publicidad de la toma de decisión y no el secretismo del estado.

Pero El Quijote nos muestra que la parcialidad o exclusión es, en realidad, la forma de relación del arma consigo misma a la que los humanos estamos esclavizados, pues siendo el arma para matar o dañar al otro, la única paz que admite su existencia es poner todo bajo un dominio piramidal o jerárquico y la manifestación de ese dominio es precisamente hacernos confesar, por lo que la paz o inclusividad es el desarme, cuya expresión y medio es la bandera blanca.

Por eso, la Reconciliación humana es el cese total de la actividad del arma -el alto el fuego, y el cese del servicio humano al arma que es el el trabajo, la inversión y la dedicación al desarrollo y expansión del arma y así el Día de la Reconciliación de la humanidad sirve para aseguramos que ese entendimiento se hace universal y también es así la convocatoria de un órgano o sistema humano para la coordinación o gestión del desarme, pero también este conocimiento puede y debe servir YA como medio de entendimiento para que hagan el alto el fuego ya los que ahora están en guerra, como muchas partes de África, Gaza y Ucrania.

Esta propuesta es pública, sincera y abierta, pues busca cándidamente el bien para todos y también la cooperación de todos sin distinción jerárquica ni estatal para acabar con el arma, y quien tenga dudas o quiera refutarla, que se exponga públicamente, pero asumir que solo somos una parte del arma a la que pertenecemos y que solo los que representan esa arma son los que deben hacer o gestionar la paz es obviamente absurdo. Si bien es cierto que no tenemos medios de difusión, solo el conocimiento y la voluntad de lograr la paz y la libertad que esta a nuestro alcance porque es algo que, en efecto, solo puede hacerse entre todos, pero aquí estamos ya todos.

DECLARACIÓN DE LA PAZ

La paz es convivir en lugar de seguir divididos en unidades armadas o estados soberanos tomando decisiones unilaterales que, inexorablemente, lleva a la confrontación. Por eso, te invitamos a ti y a todo el mundo a celebrar un Día de la Humanidad el 16 de noviembre de 2024 en el que manifestar nuestra decisión de convivir en paz. Ahora todavía es el estado el que difunde la información según su alineamiento e ideología, por eso, te ruego encarecidamente y por favor que ayudes a difundir esta llamada de la humanidad a la Humanidad. Creo que estas pocas líneas que siguen bastan para nuestro entendimiento, por tanto, por favor, comparte este mensaje, preferentemente por email con copia a info@human-unity.org y así podremos saber quién está dispuesto a cooperar en los siguientes pasos y quedará registro de la actitud de cada uno al ser interpelado por la paz.

La violencia como forma de relación humana generalizada es la amenaza de sumisión o muerte, el efecto (de la existencia) del arma, un objeto para matar -obviamente a los otros, lo que nos fuerza a todos a desarrollarla tanto como sea posible y a menoscabar y, eventualmente, a destruir la del otro, hacer la guerra. Por lo que la paz no es la ausencia casual y momentánea de guerra sino la libertad, el cese de la amenaza o, concretamente, el desarme, cuya condición es la inclusividad o universalidad de la voluntad de convivencia en paz, de modo que el arma resulta en el absurdo de ser un objeto para matarse o dañarse uno a sí mismo o en que la destrucción mutua sea autodestrucción, etc. Otra demostración es que el llamado “dividendo de la paz” es indivisible; el ahorro del gasto en armamento solo lo podemos lograr entre todos y es imposible para las partes por separado, y, finalmente, la consecuencia del desarme es el mayor bien, la comunidad humana.

El 16 de noviembre los humanos estamos invitados a manifestar nuestra voluntad de convivencia en paz, pero ya desde ahora asumimos responsabilidad por la suspensión de todo desarrollo y actividad con el arma para esa fecha en conversación con los otros, pues es el arma lo que nos divide y solo con el arma en suspenso podremos el mismo día 16 convocar también la celebración en 2025 de un Congreso de la Humanidad que se responsabilice por el desarme y la seguridad común humana y que aplique justicia recompensando a quien más contribuya al bien común. Y así proponemos que $2,5 billones del ahorro en armamento en un año se repartan entre quienes difundan esta propuesta de convivencia en paz, incluidos los patrocinadores de la Fiesta y el Congreso, si bien entendemos que sin el efecto del arma la convivencia nos lleva a asumir como propio el interés de la Humanidad sin más incentivo.

Invitamos ahora a todos los Ayuntamientos, universidades e Institutos de Enseñanza Secundaria de todo el mundo a declararse Amigos de la Humanidad apoyando la Fiesta de la Humanidad e invitando a sus homólogos. Con la universalidad, el actual sistema de amenaza como modo de relación humana puede y debe ser sustituido por la publicidad de la toma de decisiones, abiertas al juicio y participación de todos, pues la prueba de una buena voluntad -una que busca el desarme o bien común- es que la publicidad es el medio o recurso para realizar algo. (Son muchas las señales de la Historia sobre nuestro momento, pero aquí particularmente invito a la lectura del último capítulo o Anexo II de la Paz Perpetua de Kant).

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