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INVITATION À LA FÊTE DE LA RÉCONCILIATION DE L’HUMANITÉ LE 30 JANVIER 2025

Bien sûr, cette invitation s’adresse à tout le monde, mais je propose à ceux d’entre vous qui recevront ce document de l’appeler et de le préparer en tant que volontaires, car nous ne pouvons pas attendre de l’État, de l’unité armée, ou des entités qui en dépendent qu’ils promeuvent cette initiative d’humanité et de paix qui se manifeste avec le drapeau blanc et dont le but est le désarmement, l’unité et l’harmonie humaine, puisque c’est ce qu’exige la réconciliation. Jusqu’à l’été nous communiquons l’appel et après l’été nous préparons l’activité.

Je veux d’abord me présenter en tant que promoteur de cette initiative : je m’appelle Manuel Herranz, président de HUM, Mouvement pour l’Unité Humaine (www.human-unity.org) et c’est une initiative et je veux vous donner quelques informations sur moi que vous pourrez vérifier et aussi je me mets à votre disposition pour toute question.

En 1987, j’ai été contacté par des agents soviétiques à Berlin qui étaient prêts à me soutenir alors que je travaillais activement pour la paix et le désarmement tout en rédigeant ma thèse sur l’humanité et le désarmement à la FU Berlin. Je n’ai pas accepté sa proposition parce que j’avais compris que soutenir la paix à l’Ouest était à l’avantage de l’Est.

J’avais étudié la philosophie à l’UAM de Madrid, mais au début des années 80, en pleine guerre froide, ce qui était le plus impressionnant était la possibilité d’une guerre nucléaire, j’ai donc concentré mes études sur la paix. En 1986, alors que je travaillais déjà sur ma thèse de doctorat, je suis arrivé à Berlin-Ouest et j’ai décidé d’y rester et d’y poursuivre mes recherches et mes activités. Outre la philosophie, j’ai commencé à étudier les relations internationales, le chinois, l’arabe et le russe, car j’ai décidé que c’étaient les principales langues de l’Est, du Sud et du Nord et après avoir quitté Berlin en 1989, j’ai voyagé et étudié la vision de paix des principales cultures du monde.

Maintenant que l’abîme nucléaire est de nouveau devant nous, considérons un point de vue très général : la vision de la paix en Occident et au Moyen-Orient est que Dieu, père ou leader, fait de tous les humains des frères et sœurs, et le principal vision de la paix en Chine est l’œuvre de Mozi, le principal rival de Confucius au Ve siècle avant JC. L’enseignement de Mozi s’appelle La Politique de l’Amour Universel, et je le cite ici pour donner une idée de son principe : « Celui qui critique les autres doit avoir une alternative. Critiquer sans suggérer comment s’améliorer, c’est comme essayer d’arrêter une inondation avec de l’eau ou essayer d’éteindre un incendie avec le feu. Ce sera inutile. C’est pourquoi Mòzǐ a dit : La partialité doit être remplacé par l’universalité ». Mòzǐ nous montre comment toutes les calamités du monde naissent de la partialité, tout comme le bien humain et l’impartialité doivent être un produit de l’universalité, en raison de notre intelligence ou de notre bon sens qui nous amène à nous mettre à la place de l’autre et nous ne pouvons pas nous contenter de moins. qu’être égal. Le problème pour Mòzǐ, ainsi que pour les cosmopolites occidentaux – la principale école de pensée de l’Empire romain et de l’Empire hellénique qui s’étendait de l’Espagne à l’Inde du 3ème siècle avant JC au 3ème siècle après JC jusqu’à la propagation du monothéisme – était de savoir comment pour surmonter les préjugés des unités armées ou des États dans un monde inconnu. Mais aujourd’hui que le monde est à notre portée et interconnecté, l’universalité et avec elle la paix sont possibles.

Le 30 janvier 2025, tous les humains sont appelés à exprimer leur volonté de coexister en paix et de créer un organe de l’humanité pour le désarmement et une prise de décision inclusive qui prévient l’intention de nuire par la coopération pour le bien commun et en traitant les autres comme nous le ferions aime être traité.

La paix n’est pas l’absence de guerre, la PAIX est LE DÉSARMEMENT

L’arme, donnée dans la nature, est l’objet (ou l’intention) du mal qui nous est manifesté – dans la main de l’autre, avec le tranchant et la pointe de l’épée, dans l’explosivité de la bombe, etc., ce qui n’est pas le cas, par exemple, d’un couteau de cuisine ou d’une pierre, qui n’ont pas cette intention et ne nous alarment pas. Cette mauvaise intention aboutit à une « guerre absolue », c’est-à-dire que les unités armées cherchent à augmenter leur capacité de destruction et à limiter celle de l’autre, car par la menace elles dominent les autres et lorsque la menace ne suffit pas, la guerre devient irrémédiable comme l’action ou la tentative de désarmer l’ennemi, donc la paix n’est pas (seulement) l’absence de guerre mais le désarmement, qui est la coopération pour le bien commun.

Le drapeau blanc est le moyen de réconciliation

Eh bien, l’arme, qui met tout à son service et n’admet d’autre option que d’être incorporé ou ennemi, oblige tous les humains à rejoindre des unités armées et les états organisées hiérarchiquement pour annuler ainsi notre volonté personnelle et notre humanité, et pour nous libérer de l’arme dont nous avons besoin du drapeau blanc, puisque sa signification et son effet sont la cessation universelle de l’activité de l’arme, à la fois dommageable et menaçante. Si nous ne sommes pas capables d’exprimer notre volonté humaine personnelle à travers le drapeau blanc et que nous sommes représentés par des officiers de l’unité armée ou de l’État, ou derrière des « idées » de notre précédent état de guerre, ce sera une manifestation de notre peur de la menace des autres et projection de la nôtre.

Le désarmement est synonyme de réconciliation et d’unité humaine

Le désarmement unilatéral – comme il l’aurait nécessairement été dans le passé – n’est pas un désarmement mais, comme la défaite, un transfert de soumission et de service à une autre arme, car le désarmement exige l’universalité, ce qui ne se produit qu’à notre époque et c’est pourquoi nous faisons cela un appel à la réconciliation, qui est aussi un appel au pardon, car jusqu’à présent chacun était au service de l’arme sans autre option, donc nous ne pouvons tenir personne pour responsable.

Il n’y a pas d’autre problème parmi nous, les humains, que l’arme dont le but de nuire doit être caché, sous prétexte, tandis que la réconciliation humaine est une prise de décision inclusive en rendant public tout objectif (pouvant affecter autrui) qui évite et empêche le but de nuire et ne traite que le bien commun.

Si l’on exclut l’arme, tout est pour nous servir et donc sa finalité implique aussi quand, comment, par qui, etc. cette (ressource) devrait être utilisée de la meilleure façon. Par conséquent, la souveraineté humaine ne force ni n’impose rien, son organe n’est rien d’autre qu’un réseau d’informations d’abord pour le désarmement et en général pour la coopération, tandis que l’unité ou la souveraineté humaine favorise la concorde comme bien commun, ce que maintenant l’arme nous empêche, ce qui nous affront.

Évidemment, le désarmement pacifique ne peut être imposé ou forcé ; Elle doit être libre, volontaire, mais chaque partie cesse de produire et de développer des armes et désarme si tous les autres satisfont à ses conditions, ce qui fondamentalement consiste également à cesser de développer des armes et à désarmer, puisque la cause de l’arme est l’(autre) arme. Par conséquent, le désarmement ne peut être réalisé par l’une ou l’autre des parties et nécessite la coopération de tous ; économiser les dépenses en armement est le bien commun, tout comme le résultat du désarmement est la communauté humaine.

Le cessez-le-feu et l’arrêt du développement de l’arme

Même si la souveraineté de l’humanité requiert l’accord unanime de tous les êtres humains et que, dans l’intervalle, la paix doit respecter la souveraineté de notre État, puisqu’une action unilatérale engendrerait sa réaction violente, l’appel à la réconciliation et la manifestation du drapeau blanc peuvent servir à arrêter le développement des armes et établir un cessez-le-feu (en Ukraine, à Gaza, dans de nombreux endroits d’Afrique, partout où il y a un conflit armé), puisque nous savons désormais que la paix est le désarmement et la souveraineté de l’humanité, et le soutien et la prévoyance de ceux-ci sont déjà proches facilite l’accord pour la suspension immédiate de toute hostilité, sans aucune autre condition préalable.

Human Unity Movement, HUM     www.human-unity.org o manuelhm@human-unity.org

C/Felipe Solano Antelo 19A, 2°A, Guadalajara 19002, Spain, Phone: +34 656339490 App: @HumanUnity

 

INVITATION TO THE FESTIVAL OF THE RECONCILIATION OF HUMANITY ON JANUARY 30, 2025

Of course, this invitation is addressed to everyone, but I propose to those of you who are receiving this document to call it sharing it.

We cannot expect from the State, the armed unit, or the entities that depend on it that they promote this initiative of humanity and peace whose aim and mean is disarmament, which leads to human unity and harmony among us all humans and it is called by the white flag. This is what human reconciliation requires and other way will be useless, undermined by the arm.

Until the summer we communicate the call and after the summer we prepare the activity. Thank you.

 

I first want to introduce myself as the promoter of this initiative: my name is Manuel Herranz, president of HUM, Movement for Human Unity (www.human-unity.org) and it I want to give you some information about me that you can check and also I am at your disposal for any questions.

In 1987, I was contacted by Soviet agents in Berlin who were willing to support me as I actively worked for peace and disarmament while writing my thesis on humanity and disarmament at FU Berlin. I did not accept their proposal because I understood that supporting peace in the West was to the advantage of the East.

I had studied philosophy at the UAM in Madrid, but in the early 80s, in the middle of the Cold War, and I was most impressed about the possibility of nuclear war, so I focused my studies on peace. In 1986, when I was already working on my doctoral thesis, I arrived in West Berlin and decided to stay and continue my research and activities there. Besides philosophy, I started studying international relations, Chinese, Arabic and Russian, because I decided that these were the main languages of the East, South and North and after leaving Berlin in 1989, I traveled and studied the world’s major cultures’ vision of peace.

Now that the nuclear abyss is once again before us, let us consider a very general point of view: the vision of peace in the West and the Middle East is that God, father or leader, makes all humans brothers and sisters, and the main vision of peace in China is the work of Mozi, Confucius’ main rival in the 5th century BC. Mozi’s teaching is called The Policy of Universal Love, and I quote him here to give an idea of its principle: “He who criticizes others must have an alternative. Criticizing without suggesting how to improve is like trying to stop a flood with water or trying to put out a fire with fire. It will be useless. This is why Mòzǐ said: Partiality must be replaced by universality. Mòzǐ shows us how all the calamities of the world are born from partiality, just as human good and impartiality is the product of universality, due to our intelligence or our common sense which leads us to put ourselves in other people´s shoes and we cannot settle for less than being equal. The problem for Mòzǐ, as well as Western cosmopolitans – the main school of thought of the Roman Empire and the Hellenic Empire which stretched from Spain to India from the 3rd century BC to the 3rd century AD until the spread of monotheism – was how to overcome the prejudices of armed units or states in an unknown world. But today that the world is within our reach and interconnected, thus universality and with it peace is possible.

On January 30, 2025, all humans are called to express their willingness to coexist in peace and create an organ of humanity for disarmament and inclusive decision-making that prevents the intent to harm through cooperation for the common good and treating others as we would like to be treated.

Peace is not the absence of war, PEACE is DISARMAMENT

The weapon was there in nature, and it is the object (or evil intention) of harming as is manifested to us in the edge and tip of the sword, in the explosiveness of the bomb, etc., but not in a kitchen knife or a stone since those do not have that evil intention and do not alarm us. This harming or evil intention of the arm is sustained with time and cannot be solved but only confronted by another arm, and all arms become armed units, each seeking to increase its capacity of destruction and undermine this capacity of the others, because they dominate each other by using the threat of destruction and when this is not decisive the war follows, as the action or attempt to disarm the enemy. Therefore, peace is not the absence of war, but disarmament by cooperating for the common good.

The white flag is the means for human reconciliation.

The arm puts everything at its service. It does not admit other option than to be incorporated or to be the enemy and forces us all humans to organize ourselves hierarchically in armed units and states because in this way our personal will and our humanity is cancelled. Therefore, to liberate ourselves and all others from the arm we need to rise the white flag since its meaning and effect is the universal cessation of the arm´s activity, both damaging and threatening. If we are not able to express our humanity with the white flag and we are represented by our armed unit or state officials or by “ideas”, all developed in our previous state of war at the arm’s service, it will be a manifestation of our fear from the others´ threat and a projection of our own threat upon the others.

Disarmament is human unity.

Unilateral disarmament is not real disarmament but, like defeat, the transfer of our submission/service to another arm. Disarmament requires universality, something only possible in our time. Therefore, we are making this universal call of reconciliation, along with forgiveness because until now each one was at the arm´s service without alternative and we cannot hold anyone responsible.

There is no problem among us humans except for the weapon whose purpose of harming must be hidden, pretexted, while human reconciliation is inclusive decision-making through the publicity of the purpose of any undertaking (affecting others) which prevents any harming purpose and just look for common good.

Since, everything but the weapon is there to serve us, its purpose of service implies when, how, by whom, etc., that (resource) shall be best used. Therefore, human sovereignty does not enforce anything, its organ is just an information nexus first for disarmament and in general for cooperation. Human unity or sovereignty promotes peace and reconciliation as a common good, something that is now prevented by the arm, which affront us.

Peaceful disarmament cannot be enforced; it must free, voluntary, but one side disarms if all others disarm too because the sole cause of the arm is the (other) arm. Since disarmament cannot be achieved by one side or another and needs everyone’s cooperation, the savings on weapons’ expenditure is the common good which motivates us (mutually) to treat each other as we would like to be treated and the result of disarmament is the human community.

Ceasefire and stop the weapon’s development now.

Disarmament which is human unity and sovereignty requires the unanimous agreement of all human beings. But, until we achieve that universality, and with-it peace and reconciliation, we have to abide by the sovereignty of our state, because any unilateral/independent action within it would generate its violent reaction. However, the call for reconciliation and the manifestation of the white flag to the world can already serve to stop weapons’ development and to establish ceasefire (in Ukraine, Gaza, many places in Africa, wherever there is armed conflict), since now we know that peace is disarmament and human sovereignty, and the understanding, support and foresight of it facilitate the agreement of the parts for the immediate suspension of all weapons’ development and hostility without any other precondition.

Human Unity Movement, HUM  www.human-unity.org o manuelhm@human-unity.org Phone: +34 656339490

You are invited to a Humanity Reconciliation Day or Festival on November 16, 2024, for which we ask for your cooperation in any way you can, so if you have any initiative, please contact us. It will be the day of the consummation of time.

Because the origin or source of the good is universality, inclusiveness (in Chinese 兼 jian), while partiality or one-sidedness (exclusion, 别 bie) is the origin of evil, as seen clearly by Eastern and Western cosmopolitans without any communication between them. Mòzǐ expresses it this way:

“Suppose a man enters another man’s orchard and steals his peaches and plums. Upon hearing it the public will condemn it; If they catch him, they will punish him. Why? Because he harms others to benefit himself. But when it comes to the great attack of the States, they do not know that they must condemn it and they applaud it, calling it fair. Can you say that this is knowing the difference between fair and unfair? If there was a man who saw something a little dark and he would say that it is black, but when he saw something very dark he would say that it is white; we should think that he does not know how to distinguish between black and white. (Book V – Against Offensive War)

But this understanding was not enough for peace or inclusiveness, which was again attempted to be established through religions or ideologies, such as Christianity, Islam, communism, democracy, , figurations which need leaders or guides and have to be taught (actually imposed by the state), since they are not based on natural common sense like that of cosmopolitans. And this is because authority must be confessed, while basing human relations on figurations or beliefs is really an obstacle to peace, as Socrates saw it, and that is why Kant affirms that the proof of the search for the common good is the publicity of decision-making in contrast with state´s secrecy.

But The Quixote shows us that exclusion (and with it concealment and deception) is, in fact, the form of relationship of the weapon with itself to which humans are enslaved, since the weapon is used to kill or harm the other its purpose cannot be declared and the only peace that its existence admits is to put everything under its hierarchical domain and this is manifested by the confession. While the actual human peace or inclusiveness is disarmament, whose expression and means in The Quixote is the white flag.

Thus, human reconciliation is ceasefire and stopping the development and expansion of the arm. The Reconciliation Day serves to ensure the universal dissemination of that understanding and proposal and is also a call for a human body for the coordination of disarmament, but also this knowledge can and must serve NOW as a means of understanding for the ceasefire of those who are at war, such as many parts of Africa, Gaza and Ukraine. Join us!

Whoever has doubts or wants to refute it, should speak out publicly, but to refuse it assuming that we are only part of an armed unit and only its leaders should make peace is absurd as well as useless. We just do not have the means for spreading our message, just the knowledge and the will but we feel it within our reach since it can only be done together and we are already together.

PEACE PROPOSAL
AND COOPERATION TO EDUCATIONAL INSTITUTIONS
Peace, if true, obviously cannot be forced or imposed, it must be established as an agreement based on a public proposal. This is the case of this one and so it is also new in it to address the people and not (only) the states. And what follows now is that accepting it means sharing it, since it would be contradictory to support it and deny publicity to it which is the means for bringing it to reality. And a good channel are the educational institutions due to their reflective and universal nature.
This peace proposal is at the same time a call or invitation to a Day of Celebration of Humanity´s Reconciliation on November 16, 2024, in which the human will for peace is unanimously manifested and a Congress of Humanity is convened for 2025. The Congress will replace unilateral decision-making and threat as the way of human relationship by inclusive, public decision-making that is open to the judgment and participation of all, in this way preventing and avoiding harming purposes, which is the cause of deception and harm, and dealing only with common good. Here follows the argument and proposal:
1. Violence is the effect of (the existence of) the weapon, an object that becomes an army, and whose purpose is to kill and harm (obviously only the others), and death is only avoided with submission or by joining another army that confronts the first one and those armies determine each other dynamically to increase their destructive power and their alliances as much as they can to defend themselves from each other and also to limit and, if possible, disarm o destroy the other’s weapons, resources – which is to wage war, because the weapon leaves us humans no other alternative than to subdue or to be subdued.
2. Therefore, peace is not just the eventual absence of war or mutual destruction, but the cessation of the intention of harming. Let us not deceive ourselves, the intention of harming is harming for humans. In the past, in an unknown and incommunicado world, it was inevitable, since a unilateral attitude of defenselessness, an unarmed position is equivalent to defeat. However, today we can, we must, and we hereby propose to reset our relationship by agreeing to the cessation and renunciation of all harming intention way of using inclusive decision-making.
3. This human unanimity against the weapon identifies our interest with that of Humanity, because, in the same way that a single weapon inevitably results in all the weapons in the world and enslaves all human beings, only an universal agreement results in the cessation of the intention of harming, in our universal liberation, and the use of resources, which now serve the armies, for human benefit. For example, the cessation of the development and production of weapons would release in one year $2.5 trillion, and this amount is a common good, since nobody or no part unilaterally could achieve it and only an universal agreement can make it. And that liberation and release of resources that occurs just with stopping weapons development is a trifle compared to proper disarmament which is the means, way or path to the human community.
This document is aimed at everyone but specially to educational institutions, both universities and secondary education, so that they can subscribe and support it by sharing it, making it public among students and coordinating with other centers in their country and to some centers in other countries for them to do the same there. In this way we can share this proposal with the whole world and achieve peace and celebrate Humanity´s reconciliation on November 16 this year.

Human Unity Movement, HUM
C/Felipe Solano Antelo, 19A, 2°A, Guadalajara 19002, Spain,
phone : +34 656339490 Web: www.human-unity.org App: @HumanUnity

La paix est vivre ensemble au lieu de continuer à être divisé en unités armées ou en États souverains prenant des décisions unilatérales qui conduise inexorablement à la confrontation. C’est pourquoi nous vous invitons, ainsi que le monde entier, à célébrer le 16 novembre 2024 une Journée de l’humanité pour exprimer notre décision de vivre ensemble en paix. Maintenant est toujours l’État qui diffuse l’information selon son alignement et son idéologie, par conséquent, je vous en supplie vivement et s’il vous plaît, aidez-nous à diffuser cet appel de l’humanité à l’Humanité. Je pense que ces quelques lignes qui suivent suffisent à notre compréhension, merci donc de partager ce message, de préférence par email avec copie à info@human-unity.org et ainsi nous pourrons savoir qui est prêt à coopérer les prochaines étapes et ce sera témoignage de l’attitude de chacun lorsqu’il sera défié pour la paix.

La violence est la forme de relation humaine généralisée via la menace de soumission ou de mort, l’effet (de l’existence) de l’arme, un objet à tuer – évidemment aux autres, ce qui nous oblige tous à la développer autant que possible et à la saper et, éventuellement, détruire celui de l’autre, c’est faire la guerre. La paix n’est donc pas l’absence momentanée de guerre mais la liberté, la cessation de la menace ou, plus précisément, le désarmement, dont la condition est l’inclusivité ou l’universalité de la volonté de coexister en paix, de sorte que l’arme aboutit à l’absurdité d’être un objet de tuer ou de se faire du mal un à soi-même ou dans lequel la destruction mutuelle est une autodestruction, etc. Une outre démonstration est que le soi-disant « dividende de la paix » est indivisibles ; les économies en matière d’armement ne peuvent être réalisées qu’ensemble et sont impossibles séparément, et la conséquence finale du désarmement est le plus grand bien, la communauté humaine.

Le 16 novembre, les humains sont invités à exprimer leur volonté de coexister en paix, mais désormais nous assumons la responsabilité de la suspension de tout développement et activité avec l’arme pour cette date dans la conversation avec les autres, car c’est l’arme qui réellement nous divise et ce n’est qu’avec l’arme en suspens que nous pourrons, le même jour du 16, convoquer également la célébration en 2025 d’un Congrès de l’humanité responsable du désarmement et de la sécurité humaine commune et qui applique la justice en récompensant ceux qui contribuent le plus à la bien commun. Nous proposons donc que 2,5 billions de dollars d’économies sur les armes en un an soient distribués à ceux qui diffusent cette proposition de coexistence pacifique, y compris les sponsors du Festival et du Congrès, même si nous comprenons que sans l’effet des armes, la coexistence nous amène à assumer les intérêts de l’humanité comme étant les nôtres sans aucune autre incitation.

Nous invitons désormais tous les conseils municipaux, universités et établissements d’enseignement secondaire du monde entier à se déclarer Amis de l’Humanité en soutenant la Fête de l’Humanité et en invitant leurs homologues. Le système actuel de menace en tant que mode de relation humaine est remplacé par la publicité des prises de décision maintenant que nous avons obtenu un impact mondial, afin qu’elles soient laissées au jugement et participation de chacun, depuis l’épreuve d’une bonne volonté, celle qui recherche le désarmement ou le bien commun, est que la publicité est son moyen ou sa ressource pour y parvenir. (Il existe de nombreux signes de l’Histoire concernant notre moment, mais ici je vous invite particulièrement à lire le dernier chapitre ou l’Annexe II de la Paix perpétuelle de Kant).

To be in peace means living together instead of going on divided into armed units or sovereign states making unilateral decisions which, inexorably, lead to confrontation. Therefore, we invite you and the entire world to celebrate a Humanity Day on November 16, 2024, in which to express our wish and decision to live together in peace. But now it is still the state that spreads information according to its alignment and ideology, therefore, I strongly beg you and ask you, please, help spread this call from humanity to Humanity. I think that these following few lines are enough for our understanding, therefore, please share this message, preferably by email with a copy to info@human-unity.org and so we will know who is willing to cooperate for the next steps and it will be a record of the attitude of each one when questioned about peace.

Violence is the general form of human relationships based on the threat of submission or death or harm, which is the effect (of the existence) of the weapon, an object to kill – obviously to kill or harm others, which forces us all to develop it as much as possible and to undermine and, eventually, to destroy that of the other, this is; to wage war. Therefore, peace is not the possible momentary absence of war, but the cessation of the mutual threat, freedom, or, specifically, disarmament, whose condition is the inclusiveness or universality of our will to coexist in peace, in this way the weapon turns out the absurd object to kill or harm oneself or by which mutual destruction is self-destruction, etc. Another demonstration is that the so-called “peace dividend”, this is, for instance, saving the expenditure on weapons, can only be achieved by all together, and is impossible to be achieved by the parties separately, and the consequence of full disarmament is the greatest good, the human community.

On November 16th, all humans are invited to express our will to coexist in peace. But from now we work on the suspension of all weapons’ development and activity, ceasefire, in peace conversation with the others, since the weapon is what divides us. Only with the weapon on hold will we be able to call on that day for the celebration of a Congress of Humanity in 2025, which will be responsible for disarmament and common human security. The Congress applies also human justice by rewarding those who contribute the most to the common good and so we propose that $2.5 trillions of savings of expenditure on weapons in one year be distributed among those who work for peace, unity, including the reward for sponsors of the Festival and Congress, although we understand that without the weapons’ effect, coexistence leads us to assume the interest of Humanity as our own without further incentive.

We now invite all City Councils, Universities and Secondary Education Institutions around the world to declare themselves Humanity´s Friends by supporting the Humanity´s Day Festival and inviting their counterparts to celebrate it too. We are replacing the current system of threat as the mode of human relationship by public or inclusive decision-making, so that every decision is exposed to everyone’s judgment and participation, since the test of a good will, the one that seeks common good -disarmament- is its publicity as its only means or resource to achieve it. (There are many signs from History about our moment, but here I particularly invite you to read the last chapter or Annex II of Kant’s Perpetual Peace).

We cannot consent the genocide, the suffering and misery that we suffer to go on because this is simply solved by living together, by which destruction is self-destruction and, therefore, is opposed by all and every one of us. And how are we going to do it? With the truth.

Until now we were all forced to lie, and the war is so falsely attributed to “various causes, economic, cultural, religious, etc.” -please, check the Wikipedia or consult the AI or the UN or UNESCO, because to wage war, human beings need to figuratively differentiate themselves, whether between democrats and authoritarians (case of the war in Ukraine), between Jews and Muslims (case of Palestine), between Sunnis and Shiites (case of Yemen) and so on…, when it is really the weapon, the armed unit or state, that makes people confess such figurations, which have no basis in common sense, and that is why they are taught in schools and rituals are invented.

This condition and attitude has been inevitable in the past, because, just as a weapon generates or is all the possible weapons in the world, in an unknown world to put the weapon into question was to question a state, a single armed unit, which is the form of the weapon among humans, and it resulted in weakening it for waging war, since war is the “life of the state”, as Sunzi says in the first line of The Art of War. But today in our globalized environment it is possible to use the truth, to declare that the cause of war is the weapon, since the weapon is the reason why we have no other option than destruction, and mutual destruction cannot be our choice since it is the worst possible way to resolve any difference. But it’s not even that, the fact is that the weapon forces us to develop it, invest and work with all the resources to increase our capacity to harm, and to damage and destroy that capacity in others, and that is waging war.

Each person, each one of us, is a repository of common sense, by which we know how our acts affect others, for which it is not necessary to go to schools, and to use it is to be a supporter of peace. It is enough to think of the instrument of peace, the white flag that puts the weapon in suspense, something that Cervantes already saw clearly and shows it to us discreetly in The Quixote, even knowing that it could not yet be used then because the world of his time was not interconnected like it is now, but the world had already shown its limits and it was a matter of time to arrive to our days.

The problem we must solve is that the truth cannot be expected from political leaders whose task is still to serve the weapon, since the intention of harm cannot be made public, while the coexistence that we propose is not that of the UN but of Humanity without discrimination of nationality, and that is also without discrimination of rank. Yes, it must be us, the people who make use of our common sense, who raise the white flag to put the weapon in suspense which cannot be done by those who carry a colored flag on their shoulders. The state will no longer feel threatened by the white flag because we expose it to everyone and it does not give advantage to any weapon, which is the only thing that the stupid weapon perceives.

And let’s not play dumb. We’re not stupid, we all know that a weapon is not made to kill oneself, it is made only to kill others, and that is what “divides” or “separates” us, and what makes that we cannot “live together” and leads us to war. Who are we trying to fool then? Do I have to illustrate it? Deploying NATO soldiers on Russian borders is not friendly or “neutral” or “casual”, nor is China’s intense manufacturing and rapid development of weapons of all kinds. How can we work for evil, work for harming others, and conceal it, close our eyes, and hope that it has no consequences. It is the hour of truth, it is the hour of disillusion, the hour for Humanity to wake up from its nightmare and for us to begin to live together by sharing the truth first; the evil is the weapon, although the mission of the UN is to hide and dissimulate it, the big powers distributing in opposition the key weapons among all others armed units.

That is why we raise the white flag calling for a day of Humanity on November 16, 2024, and whoever accepts it makes a ceasefire and frees themselves from their slavery to the service and development of weapon. I’m counting on you because you choose now.

Nous ne pouvons plus consentir au génocide et à la misère que nous souffrons, qui sont résolues par le simple fait de vivre ensemble, une manière dont la destruction est une autodestruction et, par conséquent, à laquelle chacun d’entre nous s’oppose. Et comment allons-nous faire ? Avec la vérité.

Jusqu’à présent, nous étions tous obligés de mentir et la guerre était attribuée à des mensonges « à diverses causes, tant économiques, culturelles, religieuses, etc. » -Lisez Wikipédia ou consultez l’IA ou l’ONU ou l’UNESCO, car pour faire la guerre, les êtres humains ont besoin de se différencier au sens figuré, que ce soit entre démocrates et autoritaires (cas de la guerre en Ukraine), entre juifs et musulmans (cas de la Palestine), entre sunnites et chiites (cas du Yémen) et ainsi de suite…, alors que c’est en réalité l’arme qui fait avouer de telles figurations, qui n’ont aucun fondement dans le bon sens humaine et c’est pour cela qu’elles sont enseignées dans les écoles et des rituels sont inventés.

Cette condition et cette attitude étaient inévitables dans le passé, car, de même qu’une arme engendre ou constitue toutes les armes possibles dans le monde, dans un monde inconnu, mettre l’arme en question, c’était avant tout remettre en question un État, une unité armée, la forme de l’arme parmi les humains, et ce remettre en question a eu pour résultat de l’affaiblir pour la guerre, puisque la guerre est la « vie de l’État », comme le dit Sunzi dans la première ligne de l’Art de la Guerre. Mais aujourd’hui, dans notre environnement mondialisé, il est possible d’utiliser la vérité, de déclarer que la cause de la guerre est l’arme, puisque l’arme est la raison pour laquelle nous n’avons d’autre choix que la destruction, et que la destruction mutuelle ne peut plus être notre choix parce que c’est précisément la pire façon de résoudre un différend. Mais ce n’est même pas cela, le fait est que l’arme nous oblige à la développer, à investir et à travailler avec toutes les ressources pour augmenter notre capacité de nuire et de nuire et détruire cette capacité chez autrui, et c’est faire la guerre.

Chaque personne, chacun de nous, est un dépositaire du bon sens, par lequel chaque personne sait comment ses actions affectent les autres et pour lequel il n’est pas nécessaire d’aller à l’école, et l’utiliser c’est être un partisan de la paix ; Il suffit de penser à l’instrument de paix, au drapeau blanc qui met l’arme en suspens, quelque chose que Cervantès a déjà vu clairement et nous le montre discrètement dans Don Quichotte, sachant même qu’il ne pouvait pas encore être utilisé car le monde de son temps n’était pas encore interconnecté comme il l’est aujourd’hui, mais le monde avait déjà montré ses limites et arriver a aujourd’hui n’était qu’une question de temps.

Le problème qu’il nous reste à résoudre est qu’on ne peut pas attendre la vérité de la part de dirigeants politiques dont leur tâche est encore de servir l’arme, puisque l’intention de nuire ne peut pas être rendue publique, alors que la coexistence que nous proposons n’est pas celle de l’ONU mais de l’Humanité sans discrimination de nationalité, et cela aussi sans discrimination de rang. Oui, nous devons être ceux qui font preuve de bon humaine sens, qui brandissent le drapeau blanc pour mettre l’arme en suspens et cela ne peut pas être fait par ceux qui portent un drapeau coloré sur leurs épaules. Nous ne montrons pas le drapeau blanc pour qu’ils ne nous tirent pas dessus comme les otages israéliens, qui auraient peut-être été mieux lotis avec un drapeau israélien, nous levons le drapeau blanc face à toutes les armes. C’est pourquoi ne vous inquiétez pas, l’État ne se sentira plus menacé par le drapeau blanc parce que nous l’exposons à tout le monde, ce qui ne donne un avantage à aucune arme, ce qui est la seule chose que perçoit le stupide arme.

Et ne faisons pas l’idiot, nous ne sommes pas vraiment stupides, nous savons tous qu’une arme n’est pas faite pour se suicider, elle est faite uniquement pour tuer l’autre, et c’est ce qui nous “divise” ou nous “sépare”, qui empêche la coexistence et nous conduit à la guerre, qui essayons-nous de tromper alors ? Dois-je l’illustrer ? Le déploiement de soldats de l’OTAN aux frontières de la Russie n’est ni amical, ni « neutre », ni « occasionnel », pas plus que la fabrication intensive et le développement rapide d’armes de toutes sortes par la Chine. N’essayons pas de travailler pour le mal, de nuire aux autres et de dissimuler, fermons les yeux et espérons que cela n’aura aucune conséquence. C’est l’heure de la vérité, c’est l’heure de la déception, pour que l’humanité se réveille de son cauchemar et pour que nous commencions à vivre ensemble, en partageant d’abord la vérité ; que le mal est l’arme, même si la mission de l’ONU est de la cacher et de la dissimuler, que les grandes puissances sont les distributrices d’armes clés aux camps adverses

C’est pourquoi nous brandissons le drapeau blanc pour appeler à une journée de l’humanité le 16 novembre 2024, et quiconque l’accepte conclut un cessez-le-feu et se libère de son esclavage au service et au développement des armes. Je compte sur toi, car tu choisis maintenant.

DEPUIS QUE NOUS SOMMES INTERCONNECTÉS, NOTRE BIEN EST DEVENU LE BIEN DE TOUS LES AUTRES AUSSI ET PAR CONSÉQUENT IL EST JUSTE UNE QUESTION DE PARTAGER LES INFORMATIONS À CE SUJET POUR L’OBTENIR

Faire le mal, tuer et détruire comme le font Israël, la Russie, le Hamas, l’Ukraine et bien d’autres, c’est-à-dire nuire à autrui, ne vient pas de notre volonté, cela est dû à l’existence du l’arme dans la nature auquel tous les humains a dû s’adapter en le rendant aussi meurtrier que possible et en s’organisant en unités armées. Et l’arme, le moyen pour commettre homicide, est la cause de la guerre, car le but de toute guerre est de désarmer/détruire l’arme de l’ennemi pour le mettre ou le mantenir à notre merci au lieu que nous soyons à sa merci, ce qui est le effet de l’existence du l’arm sur nous, les humains, car à partir de lui nous anticipons virtuellement notre mort…

Une preuve évidente que le mal n’est pas désiré est que la destruction mutuelle est évidemment la pire manière de résoudre les différends, mais étant donné qu’elle est une option, elle devient la seule et, en fait, l’arme elle-même et sa menace sont la cause de la difference et de la division humaines. Et le cessez-le-feu, bien qu’il soit bénéfique pour les deux parties par opposition à la destruction mutuelle, ne peut être qu’un moment de réarmement, car une autre chose serait d’offrir à l’ennemi ce qu’il entend précisément réaliser par la guerre, à savoir désarmer l’autre.

LA BONNE NOUVELLE

Mais la paix découle de notre simple coexistence ou unité humaine, d’une prise de décision inclusive qui, par conséquent, prévient et évite l’arme, ou ce qui revient au même : l’unité crée le bien commun, puisque le dividende de la paix/du désarmement est indivisible, juste car une seule arme donne naissance à toutes les armes possibles dans le monde ou, par exemple, les économies possibles sur les 2,5 trillions dépensés cette anne pour le développement d’armes sont un bien commun, car elles ne peuvent être générées par l’une, ni par une partie, ni par l’autre, mais par l’Humanité ensemble, et ces 2,5 trillion ne représentent qu’une bagatelle dans le dividende total de la paix, qu’est la communauté humaine.

LA PAIX EST MAINTENANT

Mais il faut comprendre que, tout comme la condition du bien commun est l’universalité, cela n’a pas été possible jusqu’à notre époque. Et bien que les gens discrets et sages du passé aient compris le bien commun ou la paix comme l’inclusivité, l’humanité ou l’universalité, puisque leur proposition ne pouvait pas avoir une portée universelle, la publicité de leur perception n’a fait qu’affaiblir leur propre État, de sorte que celui-ci n’a pas consenti et a caché ou déformé cette compréhension et c’est pourquoi nous n’avons pas de nouvelles publiques de paix et dès que nous les aurons, nous pourrons également les mettre en pratique.

C’est pourquoi nous appelons à un Congrès de l’Unité ou de l’Humanité en 2025, précédé d’un Festival de l’Humanité en 2024, date limite à laquelle les forces armées du monde auront cessé leur activité et leur développement, afin que tous les peuples puissent participer à un processus ouvert et transparent de préparation et organisation du Congrès, car si l’on reste au service de l’affrontement et du développement inverse des armes, le Congrès serait comme l’ONU, une représentation (hiérarchique) des unités armées, mais pas de l’Humanité.

Le Congrès veillera à ce que la prise de décision humaine soit inclusive, ce qui signifie essentiellement qu’elle est publique, même si la plupart des décisions sont subsidiaires, c’est-à-dire prises par ceux qui sont concernés. Le Congrès assume la responsabilité de la sécurité humaine commune et sert de moyen dans le processus de désarmement ou de création du bien commun, en fin de compte la communauté humaine. Il peut aussi appliquer dans un premier temps la justice humaine, c’est-à-dire ; pour récompenser ceux qui profitent aux autres et à l’humanité, mais, en tant qu’humains adaptés à l’existence des armes, dans ce nouvel environnement d’unité, nous nous y adapterons également et, en raison de notre influence mutuelle et de notre inclination naturelle à nous mettre à la place de l’autre, nous assumerons les intérêts des autres et de l’humanité comme les nôtres.

ENSEIGNER LA PAIX

La paix vient parce qu’elle nous met devant un choix très facile ; le bien ou le mal. Il suffit de penser, de comprendre et de partager ce qu’est la paix, de comprendre que la conséquence d’une arme est toutes les armes possibles et que l’arme nous confronte et fait de tous les humains ses esclaves de manière égale et que l’unité humaine ou l’inclusivité universelle génère le bien commun, non pas par imposition, ni uniformité, c’est la libération mutuelle et universelle du mal, du l’arme.

Qui peut choisir le mal aujourd’hui alors que le mal est également pour tous et donc aussi pour soi-même ? Qui fabriquera alors une arme ou qui permettra à quelqu’un d’autre de la fabriquer ou qui permettra à certains de s’organiser en unités armées ?

Et quiconque comprend la paix, et que la paix est possible maintenant, ne l’enseignera-t-il pas aux autres ?